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FutureMag – Cybathlon, des JO pour cyborg | ARTE Future

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FutureMag – Video mapping : quand le monde s'illumine | ARTE Future

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FutureMag – Au coeur de l'innovation chinoise à la MakerFaire de Shenzhen | ARTE Future

Shenzhen n’est plus seulement la « ville-usine » du monde, où sont fabriqués nos téléphones et gadgets électroniques. Cette ville de 15 millions d’habitants voisine d’Hong Kong est devenue ces dernières années la capitale mondiale des makers, ces bricoleurs des temps modernes qui associent composants électroniques et interfaces logicielles pour créer les inventions de demain. La ville est le résultat d’un savant mélange entre deux cultures qui se nourrissent respectivement : celle du shanzhai, contrefaçon chinoise plus vraie que nature et teintée de créativité, et celle des makers, théorisée par Chris Anderson dans sa « Nouvelle Révolution Industrielle ».

La dépendance des personnes âgées est une double charge, à la fois pour les systèmes de santé et pour les proches. La promesse des capteurs conçus par Lively est de soulager cette prise en charge. Votre grand-père qui vit seul à domicile a t-il ouvert au moins trois fois la porte du frigo aujourd’hui ? A t-il pris ses médicaments avant 14h ? S’est-il au moins réveillé ? En plaçant les six capteurs Lively dans des endroits stratégiques, les soignants et les proches peuvent savoir quand intervenir et ainsi optimiser la prise en charge des personnes dépendantes aux moments où elles en ont le plus besoin.

Suivre la lumière pour se guider

Le projet initial de Helios était de trouver un moyen de lutter contre le vol des phares de vélo.. Après plusieurs itérations et prototypes, un nouveau guidon est imaginé : il intègre de petites lampes au niveau des poignées. Mais leur fonction n’est pas simplement d’éclairer et d’être visibles. Grâce à une application smartphone associée, il est possible de renseigner une destination et de se laisser guider par les variations des lumières. Celles-ci clignotent plus vite ou changent de couleur pour indiquer au cycliste qu’il faut tourner à mesure qu’il se rapproche de la bifurcation.

Des voitures DIY customisables à souhait

Une des plus belles réussites des makers ces dernières années a été la démocratisation des drones, aujourd’hui principalement utilisés à des fins de loisir et de service. Sur le même modèle, OSVehicle propose avec son projet Tabby une plateforme de conception et de construction de véhicules open-source. N’importe qui peut télécharger les plans de cette voiture en kit qui permettra dans un premier temps de créer la structure de base d’une voiturette (assise, direction, roulements et transmission). On peut ensuite ajouter un moteur, dont les plans sont eux aussi mis à la disposition des internautes, et ensuite, imaginer ce que l’on veut pour le customiser. Une fois les pièces acquises ou imprimées en 3D, Tabby se monte en seulement une heure.

Des robots à construire et déconstruire pour les écoliers

Arcbotics se spécialise dans la création de robots en kit qui sont plus faciles à manipuler, déconstruire et reconstruire. Leur objectif est de créer un support qui permette aux enseignants de parler de notions mathématiques et physiques de manière bien plus pédagogiques. Hexy, l’un des produits de cette entreprise, est ainsi livré en kit avec tous ses outils. Pour le programmer, une interface simplifiée permet aussi aux enfants d’apprendre la partie logicielle de la robotique.

Un casque pour évaluer sa capacité de méditation

Les projets des makers autour des mesures des ondes cérébrales sont nombreux mais pas forcément facile à utiliser. Brainlink propose un casque doublement pratique. D’abord, sa technologie matérielle lui permet de détecter ces ondes par le simple contact d’un capteur métallique sec sur la peau (d’autres appareils similaires emploient tous des capteurs qui ont besoin d’un peu d’humidité). Ensuite, son interface logicielle permet à la fois de suivre sur un écran l’évolution de ces ondes et de s’entraîner à les modifier par la méditation).

Trouver la Maker Faire près de chez vous et découvrez plus d’innovations ! 

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FutureMag – La consommation collaborative, mode ou révolution ? | ARTE Future

ÉMISSION #20

Crise, baisse du pouvoir d’achat, mais aussi éthique citoyenne, conscience écologique et réseaux sociaux modifient peu à peu les comportements des consommateurs. Internet permettrait-il de faire revivre un véritable esprit de solidarité entre les humains ? Échanger, revendre ou louer entre particuliers : autant de pratiques qui reviennent sur le devant de la scène. C’est la consommation collaborative. Certains parlent même du passage d’une économie de la propriété à une économie d’usage. Véritable révolution qui transforme profondément nos sociétés ou mouvement de niche ? C’est la question à laquelle nous tentons de répondre. 
 

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FutureMag – Ces courants marins qui parcourent notre planète | ARTE Future

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FutureMag – L'humain augmenté | ARTE Future

ÉMISSION #20

L’ère de « l’humain augmenté » a-t-elle déjà débuté? C’est ce qu’il semblerait quand on rencontre Neil Harbisson, un artiste anglais qui se définit lui-même comme un cyborg, après s’être greffé une caméra au cerveau. Atteint depuis la naissance d’un déficit visuel qui ne lui permet pas de voir les couleurs, Neil a volontairement modifié son corps pour faire de ce handicap une expérimentation artistique et ressentir différemment le monde qui l’entoure. Nous partons à Londres à la rencontre de cet être hybride et discutons ensuite du mouvement transhumaniste avec Cynthia Fleury, philosophe et membre du Comité Consultatif National d’Ethique français. 

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FutureMag – Un parc d'hydroliennes | ARTE Future

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FutureMag – Samedi prochain, dans FUTUREMAG (28/06/2014) | ARTE Future

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Dans ce dernier numéro de la saison, Futuremag vous emmène en Allemagne pour découvrir un traitement prometteur contre l’hyperactivité. Nous vous emmenons ensuite dans les coulisses de la célèbre course des 24heures du Mans où se joue l’innovation en termes d’industrie automobile. Enfin nous découvrons le processus de méthanisation des sols dans un lieu tout particulier et tout indiqué : le zoo de Beauval.

HOMME – Du calme ! Traiter l’hyperactivité

Dans le monde, 4 à 6% des enfants souffrent d’hyperactivité, un déficit d’attention qui peut avoir de graves conséquences sur leur efficacité scolaire. Or cette pathologie n’a encore aucun traitement curatif. Une nouvelle technique que l’on nomme « neurofeedback » pourrait être porteuse d’un véritable espoir. Nous nous rendons en Allemagne et en France pour découvrir comment ce traitement améliore les capacités de concentration de ces enfants.

TERRE – De l’énergie verte grâce aux animaux

Dans le Loir-et-Cher, le magnifique Zooparc de Beauval héberge quelques 5 700 animaux : Lions blancs, Koalas, Pandas, Elephants… Des pensionnaires qui génèrent beaucoup de joie et aussi des tonnes d’excréments. Au lieu de les jeter, le Zooparc a eu l’idée de les transformer en énergie ! Grâce à une unité de méthanisation, le parc produit désormais du biogaz pour alimenter le zoo très gourmand en chauffage et éclairage. Une première mondiale qui pourrait bien à terme rendre le zoo totalement autonome en énergie !

OBJETS – Les 24 heures du Mans, course à l’innovation

Les 24 heures du Mans… Derrière la course automobile mythique qui met les nerfs et l’endurance des pilotes à rude épreuve se cache une toute autre compétition. Une course à l’amélioration technologique qui fait du Mans un véritable laboratoire d’innovation. Depuis 1923, les constructeurs y développent de nouveaux prototypes et les testent dans les conditions extrêmes de cette course. Nous partons sur le circuit de Spa-Francorchamps pour découvrir les innovations qui se retrouveront peut-être demain – comme tant d’autres auparavant – dans vos voitures.

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FutureMag – Les océans, vastes centrales électriques ? | ARTE Future

Le principe de l’hydrolienne est simple : grâce à une turbine hydraulique qui est actionnée par les courants marins et transforme cette énergie en électricité, on se « branche » littéralement à l’énergie des mers. Les vagues et la température de l’eau sont elles aussi une source potentielle d’énergie. Voici des exemples de systèmes qui créent de l’électricité en coûtant moins cher à l’environnement. 

Le système classique

La turbine marémotrice actuellement la plus performante est SeaGen. Elle a été installée par Siemens en 2008 au large des côtes irlandaises. Ses deux rotors produisent jusqu’à 20 MWh d’électricité par jour, soit la puissance d’une éolienne moyenne permettant d’alimenter 1 500 foyers.

Le cerf-volant sous-marin

La plupart des turbines hydrauliques fonctionnent comme des éoliennes. La différence : elles ne sont pas installées à la surface de l’eau, mais sous l’eau. Prolongeant ce parallèle entre l’air et l’eau, l’entreprise suédoise Minesto a développé une turbine mobile qui fonctionne comme un cerf-volant. Ses mouvements s’accélèrent sous l’effet de son propre dynamisme. Dès 2015, le cerf-volant des mers devrait révolutionner le marché.

Pour en savoir plus, notre reportage sur les cerfs-volants producteurs d’électricité et notre brève du web Deep Green, le cerf-volant sous marin.

Le flotteur mobile

Ce modèle de turbine mobile a des adeptes un peu partout, notamment en Asie. Un chercheur du Korea Advanced Institute of Science and Technology a mis au point une hélice marine moins onéreuse, car elle ne nécessite pas d’ancrage lourd.

Ici aussi, les ingénieurs se sont inspirés du système de l’éolienne.

La société anglaise Ocean Flow Energy a développé une turbine flottante un peu moins fragile : l’Evopod. Une maquette à l’échelle 1:10 a déjà été mise à l’eau avec succès. 

Une variante à plus grande échelle est d’ores et déjà en fabrication. Elle sera bientôt raccordée au réseau électrique écossais à titre d’essai.

L’énergie de la houle et des vagues

Ce qui ressemble à un énorme casque d’écoute est en fait une installation sur le littoral brésilien qui convertit l’énergie des vagues en électricité. Le ressac fait bouger les gros flotteurs jaunes dans leurs attaches. A l’aide d’un mécanisme hydraulique, l’énergie marine est récupérée et elle fait tourner une turbine installée sur la terre ferme.

Bien sûr, il existe une multitude de méthodes pour exploiter l’énergie des vagues. Le fabriquant belge Laminaria a inventé cette drôle de machine qui ressemble plutôt à un bonhomme qui opine du chef. 

… tandis que l’Université californienne de Berkeley a misé elle sur un tapis de bois qui se meut avec le courant. 

La ferme « ostréicole »

Une entreprise irlando-écossaise, Aquamarine, s’est inspirée de la nature pour développer son modèle « Oyster » (huître). Comme chez ce crustacé, la coquille supérieure s’ouvre et se referme avec le mouvement des vagues.

L’huître fonctionne comme une pompe, qui, grâce à la pression produite, alimente une conduite reliée à la côte et actionne une turbine.

Le plus grand parc houlomoteur au monde est en train de voir le jour au large des côtes écossaises. Cette  « ferme ostréicole » devrait bientôt approvisionner jusqu’à 30 000 foyers en électricité.

La tête chauffante

Ces nouvelles technologies sont si prometteuses que le ministère américain de l’énergie vient d’annoncer que bientôt, d’ici 2030, 15 % des besoins énergétiques des Etats-Unis seraient couverts par l’énergie hydraulique. Pour atteindre cet objectif ambitieux, tous les moyens sont bons. On a même ressorti des tiroirs une idée datant de 1881 : une centrale utilisant l’énergie thermique des mers, une invention de l’ingénieur français Jacques-Arsène d’Arsonval. Le principe : pour produire de l’électricité,  exploiter le différentiel thermique entre l’eau de surface, chauffée par le soleil, et les profondeurs froides de l’océan. 

Cette technologie appelée OTEC (Ocean Thermal Energy Conversion) sera mise en œuvre pour la première fois à grande échelle sous la forme d’une centrale d’une puissance de 10 MW construite par l’entreprise Lockheed Martin and Reignwood.

La solution : le panachage

Fin 2014, de nombreuses autres visions, idées et amorces de solutions seront sûrement présentées au Canada, lors de la conférence internationale sur l’énergie marine, dont c’est la cinquième édition cette année.

L’éolien, le thermique, l’énergie houlomotrice et marémotrice seront au programme. Une chose est sûre : l’avenir passe par un mix technologique. Alors les ponts ressembleront peut-être aux modèles 3D d’une équipe de programmeurs norvégiens :

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FutureMag – PlanetSolar, ambassadeur de l'énergie solaire | ARTE Future

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