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Carte de l’innovation – Asie

« Faire mieux avec moins », c’est la philosophie de Navi Radjou, consultant mondialement connu et spécialiste de l’innovation, auteur de « L’innovation Jugaad ». Un concept tout droit venu d’Inde. La Jugaad, c’est innover avec les moyens du bord tout en réduisant l’utilisation de ressources de plus en plus rares. Un modèle qui peut aussi s’adapter à nos sociétés occidentales et « high tech ». Démonstration avec Paul Benoit, inventeur du radiateur numérique, une innovation Jugaad bien utile sous nos latitudes.  

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Carte de l’innovation – Amérique du nord

Zéro déchets en 2020 ! C’est le pari ambitieux de la ville de San Francisco, en Californie, qui a décidé de faire de l’élimination des déchets une de ses mesures phares. Tri obligatoire depuis 2009, puces intégrées au fond des poubelles, taxes sur les débris non-recyclables, interdiction des sacs plastiques : à San Francisco, la guerre aux déchets est déclarée !

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FutureMag – L'encre de l'imprimante 3D | ARTE Future

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FutureMag – Transports : à quoi ressemblera une ville toute automatisée ? | ARTE Future

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FutureMag – Prédire le futur avec Kira Radinsky | ARTE Future

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FutureMag – La consommation collaborative, mode ou révolution ? | ARTE Future

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ÉMISSION #20

Crise, baisse du pouvoir d’achat, mais aussi éthique citoyenne, conscience écologique et réseaux sociaux modifient peu à peu les comportements des consommateurs. Internet permettrait-il de faire revivre un véritable esprit de solidarité entre les humains ? Échanger, revendre ou louer entre particuliers : autant de pratiques qui reviennent sur le devant de la scène. C’est la consommation collaborative. Certains parlent même du passage d’une économie de la propriété à une économie d’usage. Véritable révolution qui transforme profondément nos sociétés ou mouvement de niche ? C’est la question à laquelle nous tentons de répondre. 
 

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FutureMag – Apprendre les gestes écolo grâce à la gamification | ARTE Future

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ÉMISSION #16

Nous le savons tous : il faut bien plus qu’un vœu pieux pour changer de comportement. Mais comment y parvenir ? Et si transformer en jeu les gestes contraignants pouvait changer la donne ? C’est ce que se propose de faire la ludification, plus connu sous son terme anglosaxon « gamification », une nouvelle pratique qui consiste à transférer des mécanismes hérités des jeux vidéo dans d’autres domaines d’applications que la sphère ludique : formation et apprentissage, politique publique, relation client… Cela a l’air vieux comme le monde et pourtant avec Internet, la gamification se développe, se démocratise et conquiert de nouveaux terrains. A Paris, Benoit Paget a créé Cannibal, une machine intelligente qui récompense les gestes écolos.

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FutureMag – La Louve : le supermarché qui vous fait collaborer | ARTE Future

 

La Louve en chiffres

157 000 euros : c’est la somme que La Louve est parvenue à collecter grâce au soutien de ses membres.

2 000 : La Louve devrait compter 2 000 membres-coopérateurs lors de son ouverture officielle à l’automne 2015. Elle en compte aujourd’hui 1 300, organisés en 14 groupes de travail distincts.

3 heures par mois : c’est le temps de travail assigné à chaque membre-coopérateur pour faire fonctionner le supermarché.

1 500 m2 : ce sera la surface des locaux officiels du supermarché, situés dans le 18ème arrondissement.

 

Ce qu’il faut retenir

– La Louve a débuté en 2010 grâce l’association Les Amis de La Louve et la création d’un groupement d’achat aux côtés de producteurs locaux.

– La communauté est au coeur du modèle participatif de La Louve. Pour pouvoir adhérer à la coopérative, les candidats doivent payer une cotisation. Ils deviennent alors des coopérateurs. Dès lors, ils s’engagent à donner 3 heures par mois de leur temps pour assurer le bon fonctionnement du supermarché : administration, gestion des stocks, caisse, livraison, nettoyage… chacun peut participer à sa façon !

– Ce nouveau modèle d’alimentation se révèle à la fois politique et social, au service d’une agriculture durable, de la diversité culturelle et de la convivialité. Pour ses fondateurs, créer un lieu de rencontres et d’échanges est tout aussi important que démocratiser le goût des bonnes choses.

– En 2012, La Louve a obtenu le soutien de la Mairie du 18ème arrondissement et de la Mairie de la Ville de Paris.

– Le supermarché ouvrira officiellement ses portes en novembre 2015. Seuls les membres auront accès aux produits de la coopérative.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de La Louve.

par Miléna Salci
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FutureMag – « Les bitcoins m'ont immédiatement fasciné” – Entretien avec Brian Fabian Crain | ARTE Future

Après des études en économie à l’Université de Chicago et à la London School of Economics, Brian Fabian Crain a suivi des études en sciences cognitives à l’University College London.

Cet économiste et chef d’entreprise berlinois est le fondateur d’Epicenter Bitcoin, leader européen de Bitcoin Podcast. Il est également l’organisateur du Bitcoin Startups Berlin Meetup, le plus grand meeting Bitcoin outre-Rhin.

FUTUREMAG : Bitcoin existe depuis 5 ans et compte aujourd’hui environ un million d’utilisateurs de par le monde. Pourquoi vous êtes-vous raccroché à ce mouvement ?

Crain: Je suis économiste de formation, et quand j’ai entendu parler de Bitcoin, j’ai tout de suite été fasciné. Une monnaie décentralisée qui ne serait contrôlée ni par une banque ni par un pays est une idée intéressante en soi. En plus, Bitcoin est une avancée considérable sur le plan technologique. Il n’est possible avec aucun autre système de transférer de l’argent en quelques secondes, à l’échelle mondiale et quasiment sans frais. Cela ouvre un grand nombre de nouvelles possibilités.

C’est très intéressant d’être partie prenante à cette évolution, mais c’est aussi, bien évidemment, une formidable opportunité. Qui n’aurait pas aimé être un de ces pionniers qui ont créé les premières entreprises Internet dans les années 1990 ?

Vous avez créé votre entreprise Bitcoin… Pouvez-vous nous expliquer brièvement comment fonctionne cette monnaie ?

Il faut d’abord prendre conscience du fait que Bitcoin repose sur une invention technologique fondamentale. L’idée de lancer des monnaies numériques de manière décentralisée était dans l’air depuis quelque temps déjà, mais avec Bitcoin, c’est la première fois qu’un réseau parvient à un consensus sans que les différents intervenants au sein de ce réseau soient obligés de se faire confiance. Ça a l’air très abstrait comme ça, mais concrètement, cela signifie que vous pouvez savoir QUI détient COMBIEN de bitcoins.

Pour comprendre ensuite le principe des transactions Bitcoin, il faut savoir ce que sont les « clés privées » et les « clés publiques ». En gros, la clé publique est une adresse, elle fonctionne un peu comme un numéro de compte bancaire sur lequel un utilisateur possède un certain nombre de bitcoins, tandis que la clé privée est comme les données d’accès au compte par le biais desquelles il est possible de transférer un avoir sur un autre compte. Ensuite, on a le réseau qui tient une sorte de comptabilité décentralisée des avoirs, ce qui permet de consulter les avoirs de toutes les clés publiques.

Aucune instance centralisée ne contrôle Bitcoin. Peut-on faire confiance à un système aussi peu tangible ?

Il est vrai que l’absence de confiance est encore un problème. En voici les raisons : d’une part, Bitcoin est un système encore jeune et il est totalement différent de ce qui existait jusqu’ici. Quand quelque chose d’aussi important que l’argent est en jeu, les gens font généralement preuve de conservatisme et de prudence, ce qui est compréhensible. En outre, quelques vols de Bitcoins se sont déjà produits sur des sites web.

Plusieurs facteurs pourraient aider à générer la confiance. D’une part, de grandes sociétés comme Dell, Expedia ou PayPal acceptent de plus en plus les bitcoins comme moyen de paiement. Il faut aussi que les applications Bitcoin deviennent plus conviviales et plus sûres. Alors, elles seront utilisées non seulement par des fans de technologie mais aussi par Monsieur Tout-le-monde qui n’aura plus rien à craindre et ne sera pas obligé de se plonger dans un manuel d’utilisation

Comment une monnaie virtuelle peut-elle créer de la valeur et à terme, être acceptée par les marchés financiers ?

Bitcoin créera de la valeur en améliorant l’existant et en rendant possible plusieurs choses qui ne le sont pas encore à ce jour. Prenons le paiement par carte de crédit, c’est un exemple parlant. Les banques facturent une commission d’environ 3 % aux commerçants qui la répercutent évidemment sur les consommateurs. Avec Bitcoin, ces frais sont quasiment nuls. Cela fait une différence énorme.

Deuxième exemple : les transferts d’argent. Chaque année, des travailleurs immigrés envoient environ 500 milliards de dollars à leurs familles restées au pays. En moyenne, leurs frais de transfert s’élèvent à 9 %, soit environ un tiers de l’aide au développement à l’échelle mondiale. Si ces virements devenaient quasiment gratuits, cela aiderait beaucoup de familles et de pays pauvres.

Troisième exemple : l’accès aux services financiers dans les pays en voie de développement. Nous assistons actuellement à une explosion du nombre de personnes qui disposent certes d’un accès Internet et d’un smartphone, mais qui n’ont ni compte en banque ni carte de crédit. Ces gens-là ne sont pas rentables pour les banques. Alors que Bitcoin, qui est un système ouvert, les accueillera.

Si Bitcoin peut investir ces champs, il sera, à terme, automatiquement accepté par les circuits financiers.

Propos reccueillis par Lara Charmeil
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Carte de l’innovation – Afrique

Direction le Togo, à Lomé au cœur du Woelab : un « Fablab » togolais qui expérimente de nombreux projets d’innovation à bas coût pour apporter des solutions adaptées aux conditions de vie locales, dans un esprit participatif. Exemple avec de jeunes togolais qui ont réussi à fabriquer une imprimante 3D très performante à partir de déchets industriels et informatiques. Grâce à ce projet, c’est même une start up qui devrait voir le jour avec à la clé des emplois pour ces jeunes ! Décryptage avec Hugues Aubin, cofondateur du Fablab de Rennes, qui va nous donner la mesure d’une telle démarche.