Catégories
Uncategorized

FutureMag – Silver Valley : au cœur de l’innovation pour les séniors | ARTE Future

Des robots d’assistance à l’utilisation des smartphones en passant par les systèmes d’assistance, les innovations qui tendent à faciliter la communication et à rompre l’isolement auquel nos aînés peuvent être confrontés sont nombreuses. Sous l’impulsion de l’ancien ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, Arnaud Montebourg, la Silver Valley a vu le jour. Véritable communauté d’entreprises tournées vers les problématiques séniors, elle représente ce que l’on nomme aujourd’hui la Silver Économie. Cette économie dite Silver (ou des tempes grises) impacte tous les secteurs : loisirs, transports, alimentation, sécurité, santé … L’habitat est également concerné : 84 % des 55 ans et plus déclarent vouloir rester à leur domicile même s’ils ont besoin d’assistance. C’est pour répondre à cette demande que la start-up SeniorAdom a lancé un système de téléassistance innovant. Il analyse les habitudes de vie des séniors grâce à des capteurs de mouvement et à un algorithme précis pour leur permettre  de rester chez eux le plus longtemps possible, et ce en toute sécurité. En ce qui concerne les loisirs, FUTUREMAG a également rencontré Dynséo qui a mis en place des applications tablette à destination des plus de 65 ans. Elles permettent d’entraîner ses fonctions cognitives à l’aide de nombreux mini-jeux. Utilisée dans un cadre médical, l’application Stim’Art permet de détecter une diminution des facultés des séniors pour apporter le traitement adapté. Les cheveux blancs ont encore de beaux jours devant eux ! voir le reportage diffusé dans Futuremag

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Natural Vision : l'intelligence artificielle qui fait de la botanique | ARTE Future

Vous êtes en balade, le soleil brille, les fleurs s’épanouissent et les oiseaux gazouillent. Mais vous ne savez pas identifier cette nature qui vous entoure. Pour régler ce problème, une start-up berlinoise nommée Natural Vision propose d’utiliser une intelligence artificielle entraînée à reconnaître la biodiversité. Alors, à vos smartphones ! voir le reportage diffusé dans Futuremag

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Lili Sohn, son crayon plus fort que son cancer | ARTE Future

Lili Sohn, jeune Française installée au Québec, apprend à 29 ans qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. C’est le début d’une série de chimios, mais surtout le début d’une aventure : celle de Tchao Gunther. A travers son blog, sa page Facebook et aujourd’hui sa bande-dessinée, qui sort en mars 2015 aux éditions Michel Laffont, Lili raconte avec humour et tout en dessins son cancer qu’elle a surnommé Gunther. Interview exclusif avec FUTUREMAG.

Découvrir le blog Tchao Gunther

voir le reportage diffusé dans Futuremag anim_cancer-4173887cancer_cells_cut-5874336

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Jenna Arnold : l’entrepreneur qui ré(Organize) le don d’organes aux États-Unis | ARTE Future

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Pollution : une bouteille, une paille et une valise pour rendre l’eau potable | ARTE Future

Catégories
Uncategorized

FutureMag – France – Allemagne : le courant passe | ARTE Future

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Demain, l'homme augmenté | ARTE Future

lns_arte_infographie_emission20_ban-13-6393669 capture_decran_2014-06-17_a_17-14-14-5329061capture_decran_2014-06-17_a_17-14-34-9308666fleury-1277767

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Cancer : comment se soigner aujourd'hui ? | ARTE Future

lns_arte_infographie_emission22_ban-4686437 capture_decran_2015-03-03_a_14-33-14-2606760anim_cancer-1629155

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Participez au FutureQUIZ de Septembre et gagnez un lot ! (1/3) | ARTE Future

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Futur en Seine : données de santé, à qui le pouvoir ? | ARTE Future

« En France, on a une vraie demande de réutilisation des données personnelles par les patients pour innover, mais il y a également une forte psychose qui l’accompagne, affirme Guillaume Jacquart coordinateur technique à la FING. Les gens négligent ce qu’ils peuvent réaliser directement avec leurs données. » Pendant que certains imaginaient déjà voir leurs données défiler sous les yeux de leur médecin équipé de Google Glass, comme le prévoit le bloc opératoire du futur, FUTUREMAG s’est faufilé dans le groupe chargé de déterminer comment mieux coordonner les soins du patient à ses différents médecins. « Aujourd’hui, c’est moi qui envoie les comptes-rendus de santé à toute l’équipe médicale qui mentoure, témoigne d’emblée à la table Michelle Larquier, responsable marketing. Il faut plus de fluidité et que ce soit automatisé : les dates de rendez-vous, les comptes-rendus de consultation, leur coût, les résultats danalyses, les plannings des médecins… » Et Pascale Sauvage, Directrice de la stratégie de l’Agence des systèmes d’information partagés de santé (ASIP Santé) de rappeler la mise en place du dossier médical partagé depuis 2004 : « son objectif est de regrouper numériquement toutes les données de santé dun patient, et quelles soient dans un format interopérable pour être utilisées par tous. Il est gratuit et le patient doit consentir à sa création. On en compte 500 000 aujourdhui dans les 4 régions pilotes. La CNAMTS est aujourd’hui en charge de dialoguer avec les personnels de santé pour mettre en place ce système. » Un outil dont le Dr Markus Müschenich, membre du directoire de la Fédération allemande de cybermédecine, nous soulignait l’importance lors d’une précédente interview, afin de limiter les déplacements et pour potentiellement faire des diagnostics à distance : “Quand on est habitué à passer par Internet pour gérer son compte bancaire, réserver une chambre dhôtel, acheter un véhicule, demander une expertise, écrire des courriels, skyper ou surfer sur les réseaux sociaux, on se demande tout naturellement sil est bien nécessaire de se rendre systématiquement au cabinet médical pour avoir un diagnostic, et sil ne serait pas préférable que les résultats dune analyse de sang ou durine figurent dans le dossier médical personnel (…). Cela éviterait au patient de repasser les mêmes examens et permettrait au spécialiste dagir rapidement et de manière adéquate en cas durgence.” Avec 1,2 milliard de feuilles de soins par an et 11 millions de séjours hospitaliers, l’assurance maladie possède une mine de données pour poser les bases d’un nouveau système médical en France, qui pourrait créer un précédent pour un usage intelligent et collectif des données privées. Des informations que Jamel*, de la direction d’une grosse complémentaire santé souhaiterait pouvoir utiliser également. « Lassurance maladie veut le monopole de lutilisation des données, les acteurs de la recherche en seront privés, explique-t-il. On ne peut donc pas améliorer les dispositifs de prévention et on reste dans un système curatif. Cest un frein énorme. Une simple enquête épidémiologique exige 8 mois dattente. » Car comme le souligne un autre participant, avec un partage anonymisé des données, l’intelligence collective pourrait être mise à contribution et même permettre des diagnostics crowdsourcés. La preuve dans notre reportage vidéo !

 
Par Camille Gicquel