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FutureMag – Les oenophiles au secours du vin | ARTE Future

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1000 bouteilles de vin sont bues chaque seconde dans le monde. Alors, comment préserver les saveurs de ce brevage aujourd’hui menacé par le réchauffement climatique ? De vaillants oenophiles se battent et rivalisent d’ingéniosité pour préserver la qualité du vin. FUTUREMAG est parti à leur rencontre, en France, en Allemagne ainsi qu’en Californie.

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FutureMag – Jeux vidéo thérapeutiques : jouer pour mieux accepter la maladie | ARTE Future

Pour aider les patients atteints de psoriasis, une maladie inflammatoire de la peau, le centre hospitalier Victor Dupouy, à Argenteuil, ne manque pas d’imagination : les équipes soignantes utilisent un jeu vidéo thérapeutique : « Théo et les psorianautes ». Rencontre. voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – Jeux vidéo thérapeutiques : “On n'en est qu'aux balbutiements avec la réalité virtuelle” | ARTE Future

Si j’agite devant vous un pendule et que je vous parle de votre traumatisme, votre esprit sera occupé par ce mouvement. Vous ne serez pas complètement débarrassé de votre traumatisme, mais petit à petit, avec une bonne thérapie, il peut disparaître de votre esprit. Notre projet Beyond Care, qui est encore en phase de développement, reprend cette logique avec la réalité virtuelle, par exemple avec des casques Oculus Rift.

On reproduit dans la réalité virtuelle un environnement en 3D qui est une réminiscence de celui dans lequel a eu lieu le traumatisme. L’environnement rappelle le traumatisme, mais doit calmer le patient. Pendant ce temps, l’esprit du patient est concentré sur un jeu de construction qu’il doit manipuler avec ses mains, alors que le casque de réalité virtuelle l’isole complètement du monde réel. 

Si par exemple, un patient est effrayé de traverser la route car il a eu un jour un accident, nous espérons pouvoir modifier en lui ce souvenir et tenter progressivement de l’effacer. 

D’autres expériences de ce type ont-elles déjà été tentées ?

En 2008, des psychologues américains ont utilisé des masques de réalitévirtuelle sur des enfants gravement brûlés, qui avaient besoin de changer leur bandage tous les jours. La douleur était évidemment atroce. Pour l’estomper, ils jouaient en même temps à un jeu de réalité virtuelle, SnowWorld, avec un pingouin qui dévale un paysage glacial. Avec cette méthode, 80% du cerveau est occupé par le jeu et les enfants ont beaucoup moins mal. C’était en 2008, je ne comprends pas pourquoi ce jeu n’est pas présent dans tous les hôpitaux aujourd’hui !

C’est une découverte dans le monde du football qui vous a amené à vous intéresser aux jeux thérapeutiques…

Nous avons découvert que nous pouvions tromper la mémoire de footballeurs au sujet de gestes ratés. Nous nous sommes alors dit que nous pouvions sans doute agir sur les souvenirs de traumatismes. 

Nous avons demandé à des joueurs de foot d’essayer de tirer sur un poteau de but. Nous leur avons ensuite diffusé sur un casque différents replays de leur action, la vraie action, des versions négatives (le ballon arrive plus loin qu’en vrai) et des versions positives (le ballon arrive plus proche qu’en vrai). Ce sont les replays de la réalité et les versions positives qui ont été jugés, à égalité, les plus crédibles. 

C’est ce qu’on appelle le biais d’autocomplaisance, une modification du processus cognitif dans le but de maintenir et améliorer l’estime de soi. On se rend ainsi compte que les gens ont une tendance à déformer leurs souvenirs d’une manière positive. Cela peut être très utile pour redonner confiance à un joueur de foot hanté par des erreurs qu’il a commises lors d’un match précédent. 

Certaines interventions thérapeutiques bien connues comme l’EMDR (désensibilisation et reprogrammation par mouvement des yeux) ont aussi pour but de modifier la mémoire. Nous nous sommes donc dit qu’il pouvait y avoir une synergie entre ce que nous faisions pour les footballeurs et le monde de la santé.

Si on peut si facilement modifier la mémoire de patients, n’y a-t-il pas des bornes éthiques à poser ?

Si, bien sûr ! C’est un enjeu majeur. Nous ne connaissons pas encore les limites de notre méthode et jusqu’où il est possible de modifier les souvenirs des patients, mais nous ne nous autorisons à travailler que pour des applications en lien avec une thérapie. Il est évident que ce genre d’outil pourrait être très dangereux dans les mains d’une dictature… Comme toute nouvelle technologie finalement !

Beyond Sport est avant tout une start-up technologique. Est-il facile de travailler avec le monde de la santé ?

Il y a un problème à faire se connecter les deux mondes, la scène thérapeutique et la scène technologique. Les thérapeutes trouvent nos recherches intéressantes mais ils n’ont pas de connexion avec des compagnies qui développent ce genre d’outils. Malheureusement, les hôpitaux n’ont pas vraiment de temps à nous consacrer. Ils sont déjà très occupés par leurs problèmes. Ils peuvent être très excités par nos outils mais nous ne travaillons pas dans la même temporalité. 
Il leur faut parfois 6 mois pour avancer sur un projet et passer à l’étape suivante, même si heureusement ce n’est pas le cas pour tous les hôpitaux. Dans la scène technologique, ça ne marche pas du tout comme ça. Tout se fait en mode commando, en une semaine ! Heureusement, ce n’est pas le cas tout le temps. 

Les jeux thérapeutiques vont-ils se développer en masse sur les casques de réalité virtuelle ?

J’espère ! Mais cela prend beaucoup de temps pour travailler sur les projets, mobiliser les hôpitaux, passer devant les commissions éthiques. C’est une technologie très excitante mais nous n’en sommes vraiment qu’aux balbutiements. Nous ne savons pas encore les limites de cette technologie, ni quelles limites éthiques il faudra que la société pose.

Par Vincent Glad
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FutureMag – Le streamer Laink teste le jeu thérapeutique « SPARX » | ARTE Future

SPARX est un jeu vidéo thérapeutique un peu spécial. Créé par l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande, ses graphismes sont inspirés de MMORPG (Jeu de rôle joué massivement en ligne) en tous genres. Et son but est clair : combattre la dépression. Comment ? En éradiquant virtuellement les sources des maux qui troublent le patient. Pour le tester, FUTUREMAG a fait appel à Laink, streamer aguerri.

Pour retrouver tous les lives de Laink, c’est par ici.

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FutureMag – Quand le jeu vidéo soigne l'humain | ARTE Future

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Les vertus du jeu vidéo ne sont plus à prouver : amélioration des réflexes et de la concentration, l’immersion peut parfois avoir du bon. De quoi inspirer la médecine qui utilise désormais un nouveau remède ludique : les jeux vidéo thérapeutiques.

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FutureMag – C’est déjà demain #35 : place aux Green Techs ! | ARTE Future

Organisées chaque mois dans un ministère différent par la secrétaire d’État au numérique Axelle Lemaire, ces sessions mettent en contact start-ups, investisseurs et acteurs de la commande publique. Ce mardi, l’enjeu était double pour le gouvernement français : annoncer officiellement le lancement d’un projet numérique pour la COP21, qui se tiendra du 30 novembre au 15 décembre, et rappeler la toute récente adoption du projet de loi sur la transition énergétique.

« Je veux que la France soit exemplaire, a affirmé Ségolène Royal, Ministre de l’écologie. Nous avons absolument besoin que les start-ups se saisissent de cette loi de transition énergétique pour proposer des offres à la portée de tous : les citoyens, les entreprises, les associations et les territoires. »

Plongée au cœur  des innovations qui ont décidé de relever le défi et faire de l’Hexagone une référence en matière d’environnement.

 

L’open data pour mesurer la pollution dans la ville

« L’informatique est entrée dans le XXe siècle avec la mobilité, explique Romain Lacombe, co-fondateur de Plume Labs. Les objets connectés nomades et miniaturisés permettent de quantifier la pollution à laquelle on s’expose. » Et pour fournir cette information, sa start-up développe des accessoires connectés et personnels de suivi environnemental. Elle agrège et retraite les données collectées heure par heure dans 60 villes dans le monde, et permet de les comparer facilement. Une première étape pour l’entreprise qui ambitionne de lancer un objet connecté permettant de mesurer autour de soi précisément la concentration en polluants dans l’air. « Nous voulons à l’avenir utiliser des algorithmes prédictifs pour prévoir comment la pollution va évoluer. », conclut Romain Lacombe. 

 

Du photovoltaïque sur votre smartphone

Vous avez bien lu : et si vous couvriez votre smartphone de micro-lentilles invisibles à l’œil  nu, capables de recharger votre batterie ? Adaptables aux écrans, aux vitrages et aux surfaces opaques, les petites cellules de SunPartner s’activent dès la première exposition à la lumière pour alimenter l’équipement auquel elles sont connectées. Une prouesse technologique invisible qui pourrait pourtant fortement impacter notre quotidien. Car comme se le demande Joël Gilbert, co-fondateur de la start-up : « est-il bien raisonnable d’alimenter nos outils connectés avec des énergies fossiles ? »

 

Le thermostat connecté pour une meilleure consommation énergétique

« Un ménage dépense en moyenne 2 400 €/an en énergie » affirme Adrien Suire de la start-up Qivivo. Alors pourquoi chauffer au maximum une pièce lorsque vous n’y êtes pas ? « Notre objectif est d’adapter la consommation énergétique des maisons et plus largement de tous les bâtiments en permettant de contrôler à distance la température ». Une technologie qui permettrait déjà de faire jusqu’à 25 % d’économies…

 

Produisez de l’énergie en bougeant

À l’aide d’un micro-générateur, la start-up Enerbee transforme les mouvements d’une amplitude de quelques millimètres à 1 cm, en électricité. Une solution pour remplacer les piles et les batteries, et qui vise l’autonomie en énergie de petits appareils comme les montres, les télécommandes ou encore certains objets connectés. « Sur le marché, on compte déjà 80 milliards de compteurs intelligents, et ce sont plus de 450 millions de montres ou de bracelets vendus dans le monde chaque année. Le potentiel est énorme ! » s’enthousiasme Jérôme Delamarre.

 

R3D3 : la poubelle qui trie et compacte le plastique

Verre, plastique, matières organiques… Il n’est pas toujours évident de savoir où jeter ses ordures. R3D3 tri et compacte bouteilles en plastique, cannettes et gobelets. Une solution mise en place par Green Creative pour faciliter le triage et optimiser le recyclage, le compactage des matériaux permettant de réduire le nombre de collectes. Pas sûr que R2D2 soit capable d’une telle innovation ! Toiture solaire, éco-construction… L’innovation réside aussi dans les modes de financement. Fondé en 2012, le site Lumo propose aux internautes d’investir dans des projets d’énergies renouvelables. Depuis sa création, un peu plus de 162 000 € ont été collectés et près de 300 personnes ont participé au financement d’au moins un projet solaire. La plateforme s’inscrit au sein du projet européen Citizenergy, avec notamment le site anglais. « C’est un produit d’épargne simple et accessible à tous les budgets donc outil de massification du financement » affirme son fondateur.

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FutureMag – Intelligence artificielle : quand les machines élargissent les capacités cognitives humaines | ARTE Future

J’évite de parler d’intelligence artificielle. Les journalistes ont souvent tendance à considérer que l’AI imite les capacités cognitives humaines. Il en résulte tout un battage médiatique, mais aussi la peur que l’intelligence artificielle puisse un jour évincer l’être humain. Je compare volontiers ce phénomène à l’idée qu’un jour, les hommes coloniseront la planète Mars. Mais avant ça, il faudrait remplacer le dioxyde de carbone qui constitue le composant principal de l’atmosphère de la Planète rouge par de l’oxygène. Et pour cela, il faudrait introduire de l’eau, des plantes et des formes de vie animale. Un jour peut-être, quelqu’un trouvera comment rendre Mars habitable, mais ça ne se produira pas avant des siècles. C’est pareil pour l’intelligence artificielle : cette question n’est pas d’actualité. Aujourd’hui, les hommes sont bien plus soucieux de mettre au point des outils capables d’élargir les capacités cognitives humaines.  

Comment ces outils fonctionneront-ils ?

Tout est question de pensée logique. Cela dit, on ne peut pas régler les problèmes humains grâce à une démarche unique. Il existe une multitude d’approches possibles. Nous abordons différemment les questions ouvertes que les questions fermées, dont la réponse se limite à oui ou non. Les systèmes cognitifs ne peuvent élargir efficacement les capacités cognitives humaines que lorsqu’ils sont en mesure de prendre en compte diverses conséquences, et d’examiner véritablement toutes les possibilités …

Peut-on véritablement parler d’intelligence artificielle ?

Une chose est sûre, il ne s’agit en aucun cas d’intelligence humaine. Cela dit, c’est une forme de pensée qui présente des caractéristiques humaines. Car les systèmes cognitifs doivent apprendre à reconnaître certains motifs, à percevoir des signaux faibles au milieu du bruit ambiant, et à identifier un sens dans tous ces signaux. Ces systèmes sont également proches de l’homme dans le sens où ils doivent comprendre les formes d’expressions humaines : les mots, la langue, la prononciation et l’intonation, la visualisation. Les réponses apportées par ces systèmes cognitifs sont précisément celles qu’un être humain trouverait les plus adaptées. Ils se rapprochent en outre de la pensée humaine car ils évoluent sur la base des stratégies pertinentes apprises précédemment.

Quels sont à votre avis les principaux progrès réalisés en matière d’intelligence artificielle ?

Permettez-moi de citer deux exemples. Premièrement, lorsque sur une photo, le système arrive à faire la distinction entre un verre, une tasse, un vase et une bouteille. Tous ces récipients ont des propriétés similaires, tous peuvent contenir des liquides mais nous savons qu’ils sont différents. Deuxième exemple : la dimension orale. Il s’agit là non seulement d’identifier les mots, mais aussi les émotions en arrière-plan. Une machine doit apprendre que l’intonation a une influence décisive sur le sens.

Comment peut-on apprendre à une machine à reconnaître ce genre de différences ?

Il s’agit toujours d’identifier les bons signaux et de pondérer leur degré d’importance afin de capter le sens. Telle est l’architecture fondamentale de tous les systèmes cognitifs. Par exemple, la manière dont les gens contractent les muscles du visage. Votre vis-à-vis est-il heureux, triste, surpris ? Bien comprendre ces signaux et arriver à les interpréter correctement, tel est l’enjeu principal de l’informatique cognitive.

Quel est le défi majeur lié à Watson ?

Le plus grand défi de l’informatique cognitive ce sont les énormes quantités de données en jeu. Si on veut que Watson apprenne à partir des informations qu’on lui fournit, et si on lui explique comment en tirer des conclusions, l’information doit être de très bonne qualité. Or, nous avons constaté que dans la vie réelle, il existait une multitude d’informations erronées. Nombre de personnes expriment leur avis sur des blogs internet ; mais généralement, ces opinions n’ont pas été scientifiquement prouvées et elles sont fausses au niveau factuel. Il s’agit uniquement d’avis personnels. Et parfois, les informations sont inexistantes, contradictoires ou obsolètes. L’utilisation de systèmes cognitifs dans le monde réel dépend souvent de la disponibilité d’informations de qualité, sur lesquelles ces systèmes peuvent s’appuyer.

Qu’est-ce qui rend Watson aussi innovant ?

Quand nous étions enfants, nous avons appris qu’il ne fallait pas poser la main sur une plaque de cuisson chaude. Et nous avons très vite assimilé cette information. Contrairement aux êtres humains, les systèmes d’intelligence artificielle ont besoin d’une multitude de données pour s’entraîner. Nous recherchons des innovations aptes à réduire cette quantité de données.

L’intelligence artificielle pourrait-elle un jour devenir une menace pour l’humanité ?

Non, parce que pour que cela devienne une menace, il faut une motivation. Certes, quelqu’un pourrait utiliser l’intelligence artificielle comme une arme. Mais si une intelligence artificielle était assez intelligente pour pouvoir tuer des gens, elle serait vraisemblablement assez futée pour comprendre que la survie individuelle dépend de la préservation de la biodiversité. L’espèce humaine et les animaux l’ont appris au cours de l’évolution. Or, l’humanité n’est en mesure de comprendre ça que maintenant. Cela peut paraître paradoxal, mais il est probable que l’espèce humaine se détruise elle-même avant que des systèmes d’intelligence artificielle ne soient capables de le faire.

Propos recueillis par Kerstin Acker
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FutureMag – C'est déjà demain #41 : Le robot est-il (déjà) le meilleur ami de l'homme ? | ARTE Future

Avant de porter vos cartons de déménagement, enfilez un Carjack et évitez le lumbago. C’est la promesse de cette veste qui vous soutient le dos lors de ce genre d’effort. De quoi éviter bien des maux aux humains, mais aussi à la sécurité sociale ! En Allemagne, 10% des arrêts maladies posés en 2014 étaient imputables au mal de dos selon un rapport de Techniker Krankenkasse. Cette veste est équipée d’une myriade de capteurs qui enregistrent continuellement les mouvements de celui qui la porte. Les données sont ensuite comparées avec celles correspondant au mouvement parfait et non dangereux. Si une anomalie est détectée, la veste clignote pour alerter son porteur et actionne des capteurs synthétiques dont la rigidité peut être ajustée afin de soutenir la personne.

 

Musée : un robot-guide pour les seniors

“Comment aider les seniors à trouver leur chemin dans des lieux qui leur sont inconnus ?” C’est en se posant cette question que le Musée des sciences de Trente en Italie, a décidé de lancer  le robot-marcheur. Une machine bien utile pour nos aînés, puisqu’elle sert à la fois de soutien physique et de GPS. Bardé de capteurs et de caméras, ce robot-marcheur peut aussi anticiper les obstacles pour mieux les éviter. Un outil qui devrait très bientôt être prévu pour les maisons, afin de permettre aux personnes âgées de rester chez elles le plus longtemps possible.
 

 

Un robot de compagnie pour toute famille

Vous pourriez bientôt avoir un nouveau compagnon à la maison du nom de Jibo. Ce petit robot de compagnie, qui a récolté plus de 3,7 millions de dollars sur la plateforme de crowdfunding Indiegogo, est un véritable assistant pour toute la famille. Relié à une application smartphone et avec une tête pivotant à 360°, le robot reconnaît les différents membres du foyer, est capable de  s’adresser à eux personnellement et ainsi, leur faire des rappels. Il devrait même pouvoir interagir avec d’autres objets connectés dans la maison. Et pour le rendre un peu plus humain, ses concepteurs lui permettent même de rire et de changer le ton de sa voix. Alors, qui a dit que seul le chien était le meilleur ami de l’homme ?
 

 

Un robot émotionnel

Les émotions, n’est-ce pas cette frontière sentimentale qui jusqu’ici, nous rassurait quant à notre supériorité sur les robots ? Pour l’instant, cette frontière existe encore. Enfin, presque. Avec EMYS, le “robot émotionnel” à la grosse tête, la robotique calque désormais nos émotions faciales pour les reproduire d’une main de maître. Si ses émotions ne sont pour l’instant pas représentatives d’un état d’esprit particulier, elles impressionnent de précision et  de ressemblance avec les nôtres. De quoi tenir compagnie aux enfants ou encore aux personnes âgées afin d’éviter l’isolement. Et tant qu’il n’est pas vraiment énervé, il ne fait pas trop peur…
 

par Camille Gicquel et Mehdi Karam
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FutureMag – Prébiotiques, probiotiques et nutrithérapie : quand l’aliment devient médicament | ARTE Future

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FutureMag – L'innovation, comme sur des roulettes | ARTE Future