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FutureMag – Tuto des Makers #7 : cuisiner un emballage comestible home-made | ARTE Future

Vous aimez cuisiner ? Ce nouveau tutoriel FUTUREMAG est fait pour vous. Découvrez-y l’emballage comestible « home-made », préparé par le chef du restaurant parisien « Le Stube ». Rassurez-vous, chef ou pas chef, vous pourrez vous aussi réaliser cette recette sans difficulté. Alors, à vos ustensiles, il vous suffit de suivre le guide ! voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – Samedi prochain, dans FUTUREMAG (21/11/2015) | ARTE Future

Chaque jour, la mer gagne du terrain sur les terres et menace ceux qui habitent sur le rivage. Si jusqu’ici l’Homme construisait digues et barrières pour s’en protéger, celles-ci finissent irrémédiablement par céder. Heureusement, des chercheurs ont trouvé une solution naturelle et efficace : reconstruire l’espace. Ainsi, dunes et marais côtiers se voient redessinés et la sécurité des littoraux augmentée !

ÉNERGIE – Michael Graetzel, aventurier du solaire

Chimiste de réputation internationale, Mikael Graetzel est l’un des pionniers de l’invention des panneaux solaires. Pas en reste, il a désormais inventé un tout nouveau genre de panneau photovoltaïque calqué sur le mécanisme de la photosynthèse des plantes. Rencontre avec un génie des temps modernes.

Rendez-vous samedi à 13h30 sur ARTE accompagné de votre smartphone ou votre tablette pour découvrir des contenus enrichis !

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FutureMag – FUTUREMAG DATA : Réchauffement climatique, l'exode des vignes | ARTE Future

Sources : Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), Livre vert du projet Climator, Gouvernement allemand, Organisation internationale du vin, German Wine USA,  The Guardian, Études américaines PNAS, Étude allemande sur le vignoble de Geisenheim.

voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – CDD #45 : 3 innovations pour soutenir les pompiers | ARTE Future

Lors de vastes incendies de forêt, le survol des zones enflammées par des avions est courant, mais aussi dangereux. Afin d’éviter de prendre des risques, l’entreprise américaine Lockheed Martin a mis au point un hélicoptère autonome dont le plan de vol est programmable par les équipes. Testé pour la première fois en octobre dans l’Idaho, aux Etats-Unis, cet hélicoptère est capable de déverser de grandes quantités d’eau dans des zones peu accessibles. Jusqu’ici rien de vraiment nouveau. Mais l’innovation ne s’arrête pas là. Doté de nombreux capteurs, il peut intervenir à chaque instant, et notamment pendant la nuit malgré l’obscurité ou dans des fumées très épaisses, ce qu’un être humain ne peut pas faire. Il pourrait ainsi permettre de réaliser trois fois plus d’opérations.

“Les feux dans les terres sauvages sont un énorme problème, particulièrement dans l’Ouest américain, explique Mark Bathrick, directeur du Département des Services d’aviation de Lockheed Martin. Je pense que cette technologie pourrait être adaptée à d’autres hélicoptères, des avions-citernes ou autres. (…) Elle permet d’augmenter la sécurité, non seulement pour les pompiers au sol, mais aussi pour les communautés qu’ils sont venus protéger.”


Photo par LockheedMartin

Une application pour accompagner les pompiers pendant leurs interventions

Qu’il s’agisse d’un accident de la route ou d’un incendie, les pompiers ont besoin de nombreuses informations en temps réel pour prendre les meilleures décisions possibles. Faut-il encore pouvoir y accéder facilement. Pour faciliter l’accès à ces données cruciales, un jeune pompier américain féru d’informatique, Patrick Jackson, a créé une application pour Google Glass. Équipé de ses lunettes, il est capable de voir toutes les informations rassemblées par les équipes en charge d’établir le plan d’action en temps réel : localisation exacte du feu, structure de l’immeuble, accès aux bornes incendies etc. L’application est également capable d’enregistrer le départ de la caserne et l’arrivée sur le lieu de l’incendie, des moments importants pour les enquêteurs, dans le cas d’incendies criminels, mais aussi pour la formation des jeunes recrues. Cette innovation pourrait se révéler très utile dans d’autres domaines comme les services d’urgences des hôpitaux.

Le t-shirt et la veste connectés pour les « premiers intervenants du futur »

Collecter et analyser les informations en temps réel, c’est aussi ce qui motive le programme européen E-Sponder, intitulé « une approche globale pour former les premiers intervenants du futur » et lancé à Athènes en 2010. Équipés de vestes et de t-shirts bardés de capteurs, les équipes peuvent transmettre en temps réel des informations concernant la température, l’humidité ou encore la composition de l’air à leur centre de commandement. Ce dernier rassemble alors les données sur une tablette numérique avant de prendre les décisions quant aux interventions.

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Photo par E-Sponder
par Camille Gicquel
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FutureMag – C’est déjà demain #47 : le Web Summit ou la balade irlandaise des innovateurs | ARTE Future

Si un tiers de la nourriture produite sur la planète dépend directement de l’abeille, le plus important pollinisateur agricole, cette dernière disparaît en masse depuis plusieurs années. Un phénomène nommé CCD, ou “colony collapse disorder” et qui pourrait être en partie dû aux produits phytosanitaires, à l’urbanisation ou encore à certains champignons. Afin de veiller à leur bien-être, la start-up grecque Beesness Better a mis au point un dispositif capable de les surveiller : à l’aide de plusieurs capteurs placés dans les ruches, l’équipe peut mesurer le bruit des abeilles ou encore la température ambiante. Ces données sont ensuite partagées avec le département botanique de l’Université d’Athènes qui les analyse, puis fournit toutes les deux semaines un rapport sur la santé des petites ouvrières aux apiculteurs. Alors, qui a dit que le quantified self était réservé aux humains ?

Photo par dasWebweib, licence CC BY-SA 2.0

L’imagerie satellitaire pour mesurer l’impact des catastrophes naturelles

Afin d’évaluer l’impact d’un tsunami ou encore d’un ouragan, les images saurttellitaires peuvent être d’une aide précieuse. C’est afin de démocratiser leur accès que s’est structurée la start-up canadienne Urthecast qui mobilise une caméra ultra HD particulièrement précise, installée sur la Station Spatiale Internationale. Et ce ne sont pas que les conséquences des catastrophes naturelles qui peuvent être déterminées, « on peut aussi y voir l’impact des actions humaines et notamment des guerres » explique Dan Lopez, co-fondateur de la start-up. UrtheCast a ainsi passé au crible la cité antique de Palmyre en Syrie, récemment bombardée par l’Etat Islamique afin d’évaluer les dommages faits à cette ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.

(Ci-dessous, les images de La Mecque prises par Urthecast en juillet 2015)

Photo : capture d’écran Vimeo

Sauver des vies par téléphone

En situation d’urgence, une aide médicale appropriée dans un laps de temps restreint est indispensable pour pouvoir sauver des vies. Et parce que 90 % de la population mondiale ne bénéficie pas des infrastructures de soin adaptées, MUrgency propose un service d’assistance à la demande inédit, accessible à toute personne connectée à un réseau mobile. Le principe : mettre en relation via le cloud des professionnels de santé, de sécurité ou d’assistance et les personnes qui ont besoin d’une aide d’urgence. Objectif : rendre les secours accessibles à tous d’ici 2020, via votre téléphone.

Guérir des pathologies cérébrales avec un casque sans fil

Neuroeletrics a créé deux casques souples sans fil qui permettent d’agir sur l’activité cérébrale à l’aide de micro-simulations électroniques. Cet outil permettrait d’identifier différentes pathologies du cerveau, de la dépression à l’AVC, mais surtout de les traiter à l’aide de l’électroencéphalographie et de la stimulation transcrânienne à courant continu. Futur de la médecine ou science-fiction ? En tous cas, le pitch de la start-up n’a laissé personne indifférent.

Un vélo intelligent, vous en rêvez ? Pas besoin d’un deux roues bardé de capteurs. Le vélo COBI, financé à l’aide d’une campagne de crowdfunding, ne demande que l’aide de votre smartphone. Posé sur l’avant du vélo, ce dernier sert de GPS, permet de déclencher des clignotants et peut même être contrôlé grâce au guidon. Ce vélo nouvelle génération intègre même un système antivol : une fois le smartphone enlevé, il met en route les lumières et une sirène s’il détecte un mouvement anormal. De quoi suffisamment attirer l’attention pour dissuader les personnes mal intentionnées… (Et pour en savoir plus sur les vélos intelligents, retrouvez notre article ici !)

Par Camille Gicquel et Aurelie Tiev
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FutureMag – C’est déjà demain #43 : Devenez connaisseur en vins | ARTE Future

Imaginez donc qu’à chaque seconde qui passe, votre vin prenne un an ! Vous vous dites que c’est n’importe quoi, non ? Eh bien détrompez-vous ! (Et n’allez pas croire pour autant que nous avons abusé de la bouteille). C’est possible avec l’outil de mesure « La clef du vin ». Il suffit de plonger un alliage dans un nectar encore jeune pour activer le processus d’oxydation et modifier la structure moléculaire du nectar. Le principe est simple : en plongeant la clé dans le vin, on simule le processus naturel de maturation. Et là, chaque second correspond à une année ! On peut ainsi déterminer au bout de combien de temps le vin aura atteint sa plénitude et s’il s’agit d’un bon vin de garde. Une invention notamment développée avec le concours de Franck Thomas, un des meilleurs sommeliers de France. Chapeau !

 

Optiwine révèle toute la magie du vin

Dès qu’un vin est versé dans un verre, il est exposé à une forte concentration d’oxygène. Ce qui entraîne la perte de nombreuses molécules gustatives. Et pourtant, le vin a besoin de s’aérer, car ce n’est qu’à partir d’une teneur en oxygène de 10 à 40 microgrammes par litre qu’il peut idéalement s’ouvrir. Un vin qui entre en contact avec l’air extérieur gagne en un temps record 8 000 microgrammes d’oxygène par litre. Les inventeurs d’Optiwine ont mis au point un procédé basé sur la nano-aération qui expose le vin à une quantité d’oxygène 100 fois moins élevée. La bonne surprise : chacun peut utiliser Optiwine à la maison ! Après débouchage, il suffit de placer l’ « Optiwiner » adapté sur la bouteille et de la tourner en fonction du cépage. Il n’en faut pas plus pour activer la nano- oxydation et réveiller les arômes d’un vin ! C’est vos papilles qui vont être contentes.

Cellier Domesticus : et si vous mettiez votre cave en réseau ?

Rien n’est plus important que le stockage pour un vin. Rares sont pourtant ceux qui ont le temps de se rendre régulièrement dans leur cave pour vérifier que tout est en ordre. Cellier Domesticus a la solution. Grâce à une sonde et à un boîtier de contrôle, vous aurez une cave à vins 2.0, intelligente et connectée. Température, taux d’humidité, consommation électrique, l’appli permet de tout réguler à distance et vous envoie des notifications par mail. Cerise sur le gâteau : vous pouvez sélectionner le profil de domaines réputés et conserver vos bouteilles dans des conditions similaires ! Même votre facture d’électricité devrait s’en retrouver allégée : les Canadiens à l’origine de Cellier Domesticus promettent jusqu’à 70 %

Vinoga : découvrez le vigneron qui sommeille en vous

Rêvons un peu… Vous héritez d’un domaine viticole et vous vous retrouvez à devoir l’exploiter. C’est exactement le pitch du jeu en ligne Vinoga. Du choix des cépages à l’entretien des vignes en passant par l’organisation des vendanges, à vous de tirer le meilleur de vos raisins ! Le petit plus : à la fin, vous pouvez commander pour de vrai le vin que vous avez élaboré dans le monde virtuel et le déguster chez vous, in real life ! Allez, tous à vos claviers

U’Wine Network : quand les vinophiles passent aux réseaux sociaux

Que fait le gourmet 2.0, quand il veut commenter le dernier grand cru avec d’autres connaisseurs ? Il se connecte sur U’Wine Network, le réseau social pour tous ceux qui ont les yeux qui brillent quand ils entendent les mots Meursault, Pomerol ou Château Pétrus. Le credo des U’Winer : déguster, noter, partager. Pour que toute la community profite de la dégustation. Et plus on note de vins, plus on accumule de points, qui font votre réputation d’œnophile !

Par Kerstin Acker
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FutureMag – Robo-Jerry II, le meilleur ami (robotique) de l’Homme | ARTE Future

Cobaye (n.m.) (familier) : sujet d’expérience – “Servir de cobaye”.
Outre la teneur péjorative du terme, les cobayes sont essentiels à l’entraînement des personnels soignants. Et la médecine vétérinaire ne fait pas exception. Avant d’acquérir l’expérience nécessaire pour opérer professionnellement, ceux qui prennent soin de nos bêtes doivent s’entraîner. Toutefois, un problème se pose : les animaux étudiés souffrent de réels maux et handicaps. Une mauvaise manipulation d’un étudiant novice, une maladie grave non détectée ou une incision mal exécutée peut alors mettre la vie de l’animal en danger. Mais comme le dit l’adage “il n’y a pas de problème ; il n’y a que des solutions”. À l’Université de Cornell dans l’État de New York, certains professeurs ont pris les choses en main. En 2013, ils ont mis au point le cobaye idéal : un robot destiné à l’entraînement des élèves vétérinaires, qui reproduit les réactions d’un chien malade, tout en rendant ses réactions imprévisibles. Mesdames, messieurs, voici Robo-Jerry II.

35.000$ pour un parfait compromis, c’est peu cher payé, non ?


Capture d’écran Reuters

D’un chien, il a tout. Sauf la vie. Le cœur qui bat sous ses faux airs de cocker mal toiletté est totalement mécanique et son pouls pré- programmé. La douleur simulée elle, est transmise par d’innombrables capteurs, soit les nerfs du robot. “Le but ici est de permettre aux étudiants de s’entraîner sans réellement blesser l’animal, explique son créateur, Daniel Fletcher, à Bloomberg. Les résultats obtenus sont concluants, et ce sans avoir fait souffrir qui que ce soit.” Car il faut savoir que les animaux morts à la suite d’une mauvaise manipulation d’étudiants se comptent par centaines selon le média américain.

Il semblerait donc que nous entrions dans une nouvelle ère pour la formation.
À quand des robots simulés pour l’entraînement des pompiers, ou encore pour l’apprentissage des premiers secours ?

par Mehdi Karam
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FutureMag – Chez toi, l’eau tu économiseras | ARTE Future

Nebia, une start-up située à San Francisco, a mis au point une douche révolutionnaire qui vous asperge de très fines gouttelettes, et économise jusqu’à 70 % d’eau par rapport à une douche traditionnelle. S’il faut débourser entre 250 et 300€ pour en disposer, ses inventeurs promettent que le dispositif est rentable après deux ans d’utilisation. Et pour cause, outre la moindre quantité d’eau utilisée, celle-ci demande également moins d’énergie pour être chauffée ! C’est ce que l’on appelle faire d’une pierre deux coups…

Installer un gestionnaire d’eau de pluie

L’entreprise Sotralentz Habitat propose des cuves rectangulaires de 5 à 10 m3 en polyéthylène haute densité à installer dans son jardin. Le but ? Récolter l’eau de pluie et la traiter directement sur place. Une innovation qui permettrait de réaliser jusqu’à 10% d’économie dans sa consommation d’eau quotidienne… De quoi se motiver à installer sa propre station de traitement des eaux à domicile.

Quantifier précisément sa consommation d’eau

Sur 5 litres d’eau potable perdus en France, 1 litre est issu des fuites dans les canalisations. C’est en partant de ce constat que la start-up Prodecfu a mis au point une innovation au nom éloquent : FluxSAFE. Ce système de gestion de l’eau connecté permet de gérer très précisément et en toute sécurité ses consommations. Placé au cœur des canalisations, il agit comme une sentinelle et surveille en permanence le réseau. Il peut ainsi prévenir l’habitant lors d’éventuelles fuites et lui permet de réagir en quelques secondes en cas d’urgence. À l’aide d’une commande, ce dernier peut couper instantanément le flux d’eau. Y’aurait-il de la concurrence pour les plombiers ?

Et enfin… Une brique pour ses toilettes

Oui, vous avez bien lu, une brique. Et pas n’importe laquelle : “Drop-A-Brick”. Vous l’aurez compris, pour la communication de leur produit, ses fondateurs ont misé sur les calembours. Quant à l’utilisation de la fameuse brique, elle doit être placée dans le réservoir de la chasse d’eau. Une opération qui pourrait permettre d’économiser 11 000 litres d’eau chaque année. Comment ? La brique, totalement écologique puisque composée de gomme naturelle, fait monter le niveau initial de l’eau et limite la quantité ainsi utilisée lorsque l’on tire la chasse. Un procédé qui paraît simple, mais on vous l’assure … Ça marche !

Par Mehdi Karam
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FutureMag – Californie : des balles en plastique pour lutter contre la sécheresse | ARTE Future

Si l’initiative est surprenante, elle fait partie des différentes solutions proposées par la ville pour préserver ses réserves en eau et lutter contre la sécheresse qui sévit dans la région depuis 4 ans. Créées par le département de l’eau et de l’énergie de la municipalité, ces balles empêchent en premier lieu les pertes liées à l’évaporation, soit « chaque année près de 300 millions de gallons [Ndlr : plus d’un milliard de litres], assez pour fournir de l’eau potable à 8 100 personnes » selon Mitchelle Englander, conseiller de la ville.

Ces petites boules visent aussi à éviter les réactions chimiques déclenchées par le soleil, notamment celles à l’origine de l’apparition des algues, à dissuader les animaux sauvages de se rendre près du bassin mais aussi à le protéger de la pluie, du vent et de la poussière.

Cette solution est également particulièrement économique pour la ville : chaque balle, d’un diamètre d’environ 10 cm, coûte 0,36$, soit 34.560.000$ (31.617.000€) pour l’ensemble, contre 300 millions pour la division du réservoir avec un barrage et l’installation de deux couvertures flottantes.

Reste à savoir comment les autorités récupéreront toutes ces balles dans 10 ans, date limite de leur utilisation…

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FutureMag – Récupérer l'énergie des rivières avec un tapis, comment ça marche ? | ARTE Future

Rivière et électricité. Ne connaissez-vous pas un être vivant qui regroupe ces deux éléments ? L’anguille pardi ! C’est en se fondant sur la membrane de cet animal que des chercheurs ont mis au point un tapis permettant d’exploiter l’énergie des rivières. voir le reportage diffusé dans Futuremag