Catégories
Uncategorized

FutureMag – « Copenhague sera la première capitale à zéro émission de Co2 » – Rasmus Helveg Petersen | ARTE Future

Tweets de @FutureMagFR

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Les bâtiments intelligents | ARTE Future

Tweets de @FutureMagFR

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Hello Tomorrow Challenge #1 : les start-ups de demain | ARTE Future

Une analyse médicale portable pour suivre les patients à distance

Beta-Bioled permet de réaliser des analyses de sang avec un dispositif de la taille d’un téléphone portable. Loin des équipements médicaux habituels qui ont peu évolué ces 40 dernières années et qu’on ne peut trouver qu’en laboratoire du fait de leur taille. Cette technologie permettrait de réaliser des analyses sanguines chez soi et d’envoyer les données à son médecin traitant. Archimej, l’entreprise aux commandes de ce projet installée à Paris et Shangaï, mène une campagne de financement participatif sur Indiegogo, et à déjà reçu une bourse de 90 000 € de Scientipôle et le prix de la Altran Foundation Award.

Traquer les émissions de Co2 de ses fournisseurs

Les trois-quarts des émissions de Co2 d’une entreprise proviennent des ressources qu’ils achètent pour produire, il est donc nécessaire de les aider à mieux comprendre lesquels sont les plus polluants. Carbon Analytics propose une analyse et un tableau de bord qui permet de visualiser la chaîne de valeur amont avec les données d’émissions de Co2. A la clé : une meilleure réputation, un moyen de pression sur les fournisseurs et des économies d’énergie qui se répercutent dans les coûts. La startup est basée au Royaume-Uni et a déjà permis à ses clients d’économiser près de 200 000 dollars.

Le drone qui se prenait pour une mouche

Gimball est un drone d’un nouveau genre. La génération actuelle de drones civils à deux défauts majeurs : ils sont dangereux, car la vitesse des pales peut blesser leurs propriétaires ou tout individu à proximité, et encore très fragiles. L’équipe de Gimball, qui travaille depuis l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, en Suisse, a conçu un drone qui s’inspire des insectes, notamment dans leur capacité à rentrer en collision sans dommage avec leur environnement.

Résultat impressionnant : Gimball peut chercher sa voie en se cognant un peu partout, et, grâce à son armature, évite de blesser les personnes ou de s’abîmer. Les domaines d’exploitation envisagés sont vastes, de la recherche de victimes dans des zones de catastrophes naturelles, jusqu’à l’assistance aux professionnels travaillant dans des zones difficiles d’accès (lignes électriques).

Des batteries en graphène pour des smartphones capables de tenir une semaine

Les batteries lithium-ion sont partout, pourtant, la question de leur charge reste problématique. Les voitures électriques patissent toujours d’un manque d’autonomie et la batterie de nos smartphones durent rarement plus d’une journée. Le graphène pourrait être le nano-matériau le plus adapté pour allonger la durée de vie de ces batteries. Il s’agit d’un dérivé du carbone, le plus fin et le plus solide au monde (200 à 300 fois la résistance de l’acier), avec une forte conductivité électrique. GraphenTek, une startup turque, travaille donc à en faire l’élément de base d’une nouvelle génération de batteries.

Un caddie intelligent pour les personnes à mobilité réduite

Pousser son caddie dans les supermarchés relève de la mission impossible pour les personnes à mobilité réduite. Avec le vieillissement de la population à l’échelle mondiale et en particulier dans les pays développés, les technologies d’assistance vont devenir indispensables. C’est ce défi que relève la startup portugaise IS2you, spécialiste de la conception d’objets à la croisée du design et de l’expérience utilisateur. Leur projet Wi-go est un caddie capable de suivre une personne dans un super marché.

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Les bâtiments intelligents | ARTE Future

Tweets de @FutureMagFR

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Le scanner de l’innovation “Objets” | ARTE Future

Le monde en 3D dans vos smartphones
 

La 3D, ce n’est plus qu’au cinéma. Demain, vos téléphones vous permettront de scanner la réalité qui vous entoure et de la partager. Autodesk 123D, une start up américaine, a déjà mis au point une application smartphone qui permet de photographier en 3D son environnement. Alban Denoyel, un jeune entrepreneur Français, avait déjà flairé la tendance et croit en l’étape d’après : la transformation de photos 3D en fichiers 3D directement par le smartphone. Il a lancé sa start up SketchFab sur cette idée : créer la plateforme de référence des fichiers 3D sur le web, une sorte de Youtube ou de Pinterest de la 3D. Sketchfab a intégré au printemps 2013 le célèbre accélérateur de startups Techstars, pour finir l’année par une levée de près de 2 millions de dollars.

Lire le portrait
 

Santé

Une lentille pour contrôler son taux de sucre
 

“Révolutions pour certains”, “fin de la vie privée pour d’autres”, les Google Glass auront fait couler de l’encre en 2013. Pourtant les laboratoires Google X, dont l’objectif est de financer avec les recettes publicitaires du moteur de recherche des projets “à risque élevé et au potentiel bénéfice encore plus élevé”, n’ont pas fini de faire parler d’eux. En janvier, ils annonçaient la sortie de leur tout nouveau bijou : la lentille connectée. Sa première application permettrait aux diabétiques de connaître en temps réel le taux de glucose dans leurs larmes. Ce serait une immense révolution pour les 380 millions de personnes aujourd’hui atteintes dans le monde, un chiffre qui devrait atteindre les 592 millions en 2035. Le projet, encore embryonnaire, est développé main dans la main avec la Food & Drug Administration, l’autorité de santé américaine.

En savoir plus 

Impression 3D

Une rampe imprimée en 3D pour franchir les trottoirs

On trouve de tout dans le monde de l’impression 3D et parfois des inventions très utiles. Thingiverse, où s’échangent des plans open-source d’objets à imprimer chez soi, référence une micro-innovation bien pratique. C’est l’oeuvre de Raul Krauthausen, un Allemand handicapé qui se bat pour les droits des personnes à mobilité réduite, qui a en ligne fin décembre 2013 les plans de deux blocs triangulaires qui permettent aux fauteuils roulants de franchir aisément les trottoirs. Et, comme les communautés de l’impression 3D sont ouvertes et créatives, il est possible de proposer des améliorations à ces plans. Plus de 250 personnes ont d’ailleurs téléchargé ce modèle en deux semaines, signe que ce nouveau produit répond à un besoin bien réel.

Voir les plans
 

Foyer connecté

Thermostat connecté et consommation d’énergie

Début janvier 2014, Google a conclu un rachat très stratégique. C’est celui de Nest, l’entreprise fondée par Tony Fadell, ancien designer d’Apple et concepteur du premier iPod. Nest propose de rendre plus esthétiques mais surtout plus intelligents les objets qui peuplent nos foyers comme le détecteur de fumée ou le thermostat. Ce rachat signe une nouvelle poussée des géants du web dans nos maisons, déjà transformées ces dernières années, avec la VOD ou le e-commerce, en véritable centre de notre consommation connectée. Vous pouvez retrouver les détails de ce rachat sur Business Insider, ainsi qu’un excellent portrait de la philosophie de l’entreprise dans Wired au mois d’octobre.

Lire l’article de Wired et de Business Insider
 

Catégories
Uncategorized

FutureMag – La révolution du drone civil | ARTE Future

Depuis quelques mois les drones sont partout. Ces objets volants sans pilote embarqué ressemblent pour la plupart à de petits hélicoptères à quatre hélices, conçus entièrement en fibre de carbone. Il en existe de toute sorte et à tous les prix : du best seller français, l’AR Drone de Parrot, gadget vendu à plusieurs millions d’exemplaires, aux drones bardés de technologie pouvant atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros.

Télécommandés à distance ou programmés grâce à un système GPS, les drones fascinent. Ils sont une réalisation palpable et bien réelle de ce qui était, il y a quelques années seulement, de la science-fiction. Les objets volants autonomes pullulent par exemple dans les nouvelles de l’auteur de Science-Fiction Philip K. Dick.

Le drone navigue entre gadget pour adulescent nerd et incarnation d’un futur plein de promesses. Un futur qui excite les chantres du Do it yourself : dans le milieu des makers, on croit beaucoup en l’avenir du drone. C’est d’ailleurs sur cet engin qu’a parié Chris Anderson. L’ancien rédacteur en chef du célèbre et très respecté Wired a tout lâché il y a deux ans pour se lancer dans le développement d’imprimantes 3D pour drones. Grâce à son entreprise (3D Robitics-, il permet aux fans de drones de concevoir et imprimer leurs propres engins volants. “Maintenant que nous avons réussi à faire fonctionner ces engins, il est temps de leur trouver une fonction. Le champ des applications est infinis’enthousiasme-t-il sur le site américain Gigaom.

Une réglementation stricte

Car ces objets volants ne sont pas uniquement utilisés dans le cadre d’opérations militaires. Leur avenir est avant tout civil et commercial : plus petits et non armés, ils ont de multiples utilisations.

Mais aujourd’hui les drones, même civils, ne peuvent pas être manipulés par n’importe qui impunément. En France, premier pays au monde à avoir ouvert son espace aérien aux utilisations commerciales en 2012, la réglementation est très stricte. Malgré cela, la police constate de plus en plus d’infractions et de vols illégaux de drones, notamment à Paris.
 

Les Etats-Unis, en retard sur la France, promettent une ouverture commerciale pour 2015.

La France, laboratoire des drones

Des applications inattendues mais concrètes de l’usage de drones se multiplient. Qu’on se félicite, la plupart des entreprises spécialisées dans le domaine sont françaises : depuis 2011, ce sont près de 20 constructeurs et 300 opérateurs de drones qui se sont montés en France. Pour une fois, la France est donc en avance sur un marché à fort potentiel technologique. Une Fédération professionnelle du drone civil (FPDC) s’est d’ailleurs constituée en juin dernier.

Doté de la bonne technologie, un drone peut trouver son utilité dans nombre de domaines. Comme l’explique Frédéric Serre, PDG de Delta Drone qui s’est spécialisée dans la construction de drones, dans notre émission du 1 février 2014, ce n’est pas le drone la véritable innovation : « Dans les années 90, ce n’est pas le micro-ordinateur qui a pu être intéressant pour l’homme, mais davantage le logiciel, qui a permis à l’homme d’exécuter des tâches qui lui étaient fastidieuses. C’est pareil pour le drone ».

Sans “intelligence”, le drone n’est donc qu’un vulgaire avion télécommandé. C’est équipé de capteurs et reliés à des logiciels très avancés, que le drone devient un petit miracle technologique, moins coûteux et plus maniable qu’un hélicoptère, et surtout plus précis qu’un satellite.

De l’agriculture au sauvetage, des usages multiples

Les ingénieurs estiment que c’est dans le secteur de l’agriculture que les drones pourront être le plus utiles : des capteurs infrarouges sont capables de détecter l’activité photosynthétique des cultures avec une extrême précision afin de déterminer les besoins en engrais ou en eau des plantations.

En matière de protection civile, les drones sont une aubaine : inondations, pollution, sauvetage en montagne ou en mer, ils sont partout. A Merignac en Gironde, des équipes françaises sont en train de mettre au point des capteurs permettant de lutter contre les incendies, travaillant de concert avec les pompiers locaux. Le drone devient un soldat du feu à part entière, capable de traverser un incendie sans dommage, ce qui est impossible pour un hélicoptère.
 

Aujourd’hui, la plupart des drones civils sont également équipés d’une caméra 2D ou 3D. Ils s’avèrent ainsi particulièrement efficaces pour cartographier des lieux impossibles d’accès, permettant de faire des relevés topographiques à moindre coût, notamment en montagne. Le cinéma s’est vite emparé de cette technologie pour réaliser des séquences assez bluffantes, comme ce Concert à emporter de Phoenix, réalisé par la Blogothèque :

Les médias bourdonnent eux aussi pour les drones et les rédactions s’équipent. Des écoles de journalisme américaines forment même leurs étudiants au pilotage. I>Télé a récemment filmé les dégâts causés par les récentes intempéries dans le Var grâce à un drone.

#Intempéries : survol des Alpes-Maritimes avec un drone i>TELE > http://t.co/DX5L11DgiL

— itele (@itele) 20 Janvier 2014

Les usages des drones peuvent aussi être promotionnel ! Amazon, par la voix de son fondateur Jeff Bezos, a annoncé, vidéo à l’appui que le plus grand site d’e-commerce au monde, serait bientôt capable d’effectuer ses livraisons grâce à des drones. Mais dans les faits, la livraison de colis par drones reste aujourd’hui techniquement très compliquée, voire impossible. Avant Amazon, Domino’s Pizza avait imaginé livrer ses Quatre fromages et autres Calzone avec des drones, ne garantissant pas pour autant qu’elles arrivent à bonne température.

Le spectre de la surveillance panoptique

De manière assez attendue, un des usages civiles des drones le plus controversé concerne la surveillance. La SNCF dit déjà réfléchir à l’utilisation de drones pour épier son réseau et prévenir la détérioration et les vols de câbles. La police expérimente elle aussi les drones pour le repérage d’un lieu avant une intervention ou la détection de plantations illégales de cannabis. Les Etats-Unis envisagent déjà l’acquisition de plusieurs milliers de drones pour surveiller leurs frontières. Parfois, ce sont les civils eux-mêmes qui s’amusent à défier la police avec des drones, comme pendant les manifestations de juin dernier à Istanbul ou encore pendant le mouvement Occupy Wall Street.

La technologie du drone, si elle fascine, ne fait donc pas l’unanimité. Outre les risques d’accidents, le spectre de la surveillance généralisée plane sur les drones. En France la CNIL commence tout juste à se pencher sur la question contre ce que certains imaginent déjà être le début de la surveillance panoptique « partout et tout le temps » déjà imaginée en 1975 par Foucault dans Surveiller et punir. Quand on sait que ces coucous technologiques peuvent collecter des données, voire être piratés, cela à de quoi faire grincer quelques dents.

Aux Etats-Unis le débat est bien plus avancé et l’association américaine de défense des libertés privées (American Civil Liberties Union, ACLU) a déjà mis en garde les autorités américaines :

« Des règles doivent être mises en place pour s’assurer que nous pouvons profiter des avantages de cette nouvelle technologie sans nous rapprocher d’une “société de surveillance”, dans laquelle chacun de nos gestes est surveillé, suivi, enregistré et examiné par le gouvernement».

Pour l’Europe comme pour les  Etats-Unis, il s’agit aujourd’hui d’être à la pointe de l’innovation et de la recherche en matière de drones civiles, tout en respectant au maximum la vie privée et les libertés. L’enjeu commercial en vaut certainement la chandelle.

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Le scanner de l’innovation “Homme” | ARTE Future

Chine: les cycles menstruels des femmes à la base d’un réseau social

La Silicon Valley n’est plus le seul hub technologique dans le monde. La Chine, qui a déjà son moteur de recherche (Baidu) et son réseau social (Weibo), développe de plus en plus d’applications smartphones. La dernière en date, Meet You, fait fureur et a sécurisé 15 millions de dollars de financement au mois de décembre 2013. Initialement, l’application était un calendrier qui permettait aux femmes d’enregistrer leurs cycles menstruels. Depuis que l’éditeur a ajouté une dimension sociale à l’application permettant aux femmes d’échanger conseils et témoignages, ce sont près de 2 millions d’utilisatrices qui publient chaque jour quelques 800 000 posts.

En savoir plus

Tourisme

Voyagez à distance

L’Australie, qui souffre de son éloignement géographique, redouble de créativité dans ses campagnes de publicité pour attirer les touristes. En 2009, l’office de tourisme de la région du Queensland avait ainsi proposé un concours pour trouver un candidat au “meilleur boulot du monde” : gardien d’une île paradisiaque. La ville de Melbourne va encore plus loin avec sa dernière campagne qui nous permet de contrôler à distance l’un de ses habitants et de le promener tel un jouet télécommandé. Un joli coup publicitaire, mais aussi une parfaite maîtrise technique et communautaire pour que chacun puisse visiter les quatre coins de la ville. Résultat: sur les 5 jours de l’opération, qui a eu lieu au mois d’octobre 2013, les “touristes télécommandés” ont parcouru 109 kilomètres dans la ville, dégusté 31 gâteaux et même réussi une demande en mariage !

En savoir plus

Emploi

Le déficit technologique de l’Europe est d’abord humain

L’innovation, c’est avant tout ceux qui la font, et l’Europe va entrer en pénurie de cerveaux selon le rapport de l’Organisation Internationale du Travail sur les tendances mondiales de l’emploi en 2013. D’ici 2015, autant dire demain, le Vieux continent manquera de quelques 900.000 actifs dans le secteur des technologies de l’information, centre névralgique de l’innovation. Un phénomène d’autant plus inquiétant que le nombre de jeunes diplômés dans ce secteur n’augmentera que très peu d’ici là, avec à peine plus de 100.000 nouveaux entrants sur le marché du travail sur les deux prochaines années. Rien qu’en Irlande, point d’entrée de la plupart des géants du web américains en Europe, et malgré une politique migratoire très ouverte, 4.500 postes sont toujours à pourvoir. Dans une Europe frappée de plein fouet par des taux de chômage record, cela donne à réfléchir…

Voir le rapport

Vous avez aimé cet article, nous vous recommandons le sujet

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Le Power Loader | ARTE Future

Tweets de @FutureMagFR

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Hello Tomorrow Challenge #1 : les start-ups de demain | ARTE Future

Une analyse médicale portable pour suivre les patients à distance

Beta-Bioled permet de réaliser des analyses de sang avec un dispositif de la taille d’un téléphone portable. Loin des équipements médicaux habituels qui ont peu évolué ces 40 dernières années et qu’on ne peut trouver qu’en laboratoire du fait de leur taille. Cette technologie permettrait de réaliser des analyses sanguines chez soi et d’envoyer les données à son médecin traitant. Archimej, l’entreprise aux commandes de ce projet installée à Paris et Shangaï, mène une campagne de financement participatif sur Indiegogo, et à déjà reçu une bourse de 90 000 € de Scientipôle et le prix de la Altran Foundation Award.

Traquer les émissions de Co2 de ses fournisseurs

Les trois-quarts des émissions de Co2 d’une entreprise proviennent des ressources qu’ils achètent pour produire, il est donc nécessaire de les aider à mieux comprendre lesquels sont les plus polluants. Carbon Analytics propose une analyse et un tableau de bord qui permet de visualiser la chaîne de valeur amont avec les données d’émissions de Co2. A la clé : une meilleure réputation, un moyen de pression sur les fournisseurs et des économies d’énergie qui se répercutent dans les coûts. La startup est basée au Royaume-Uni et a déjà permis à ses clients d’économiser près de 200 000 dollars.

Le drone qui se prenait pour une mouche

Gimball est un drone d’un nouveau genre. La génération actuelle de drones civils à deux défauts majeurs : ils sont dangereux, car la vitesse des pales peut blesser leurs propriétaires ou tout individu à proximité, et encore très fragiles. L’équipe de Gimball, qui travaille depuis l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, en Suisse, a conçu un drone qui s’inspire des insectes, notamment dans leur capacité à rentrer en collision sans dommage avec leur environnement.

Résultat impressionnant : Gimball peut chercher sa voie en se cognant un peu partout, et, grâce à son armature, évite de blesser les personnes ou de s’abîmer. Les domaines d’exploitation envisagés sont vastes, de la recherche de victimes dans des zones de catastrophes naturelles, jusqu’à l’assistance aux professionnels travaillant dans des zones difficiles d’accès (lignes électriques).

Des batteries en graphène pour des smartphones capables de tenir une semaine

Les batteries lithium-ion sont partout, pourtant, la question de leur charge reste problématique. Les voitures électriques patissent toujours d’un manque d’autonomie et la batterie de nos smartphones durent rarement plus d’une journée. Le graphène pourrait être le nano-matériau le plus adapté pour allonger la durée de vie de ces batteries. Il s’agit d’un dérivé du carbone, le plus fin et le plus solide au monde (200 à 300 fois la résistance de l’acier), avec une forte conductivité électrique. GraphenTek, une startup turque, travaille donc à en faire l’élément de base d’une nouvelle génération de batteries.

Un caddie intelligent pour les personnes à mobilité réduite

Pousser son caddie dans les supermarchés relève de la mission impossible pour les personnes à mobilité réduite. Avec le vieillissement de la population à l’échelle mondiale et en particulier dans les pays développés, les technologies d’assistance vont devenir indispensables. C’est ce défi que relève la startup portugaise IS2you, spécialiste de la conception d’objets à la croisée du design et de l’expérience utilisateur. Leur projet Wi-go est un caddie capable de suivre une personne dans un super marché.

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Le Na-Nose | ARTE Future

Tweets de @FutureMagFR