Catégories
Uncategorized

FutureMag – Cybersécurité : quand les centres commerciaux nous espionnent | ARTE Future

Centres commerciaux : un parcours tout tracé

Une fois activé sur nos smartphones, le WiFi envoie l’identifiant de notre appareil toutes les 20 à 30 secondes. Ce signal est alors intercepté par un capteur qui peut même évaluer la distance avec le téléphone portable qu’il traque. 1 minute devant une parfumerie, 7 dans un magasin de vêtement, 4 devant des chaussures… Peu d’intérêt penserez-vous ? Pourtant, ces données enregistrées, couplées à celles des actes d’achat, permettent de connaître vos goûts et de savoir si vous avez acheté un produit ou non après être resté plusieurs minutes à l’observer. Dans le cas où vous n’auriez pas cédé, ces données permettent aux marques de vous cibler par des publicités en ligne et même de vous en envoyer via les écrans urbains, comme dans le métro par exemple, en repérant votre smartphone lorsque vous passez. Si le dispositif a de quoi en faire frémir plus d’un, il existe fort heureusement une solution toute simple pour éviter un tel pistage : désactiver le WiFi dès que l’on quitte un lieu familier. Et si jamais vous n’y pensez pas, des applications comme Wi-Fi Matic s’en chargent pour vous !

Pour en savoir plus sur Privatics, c’est par ici.

Par Camille Gicquel

voir le reportage diffusé dans Futuremag

Catégories
Uncategorized

FutureMag – La Grande Boucle des makers : au coeur de la fabrique des nuages | ARTE Future

Miriam, Groningue, mai 2015

Le 8 mai 2015, nous avons traversé la frontière entre l’Allemagne et la Hollande à vélo. Première étape : Groningen, petite ville moderne où règne un fort esprit entrepreneurial. Une destination que nous avions choisie après avoir été contactées par un maker du nom de Hans Blaauw. En découvrant notre projet quelques semaines plus tôt, Hans nous a proposé de nous guider à travers la ville afin de nous faire rencontrer les makers locaux.

Notre visite s’est terminée par la Wolkenfabriek, littéralement “la fabrique des nuages”, un espace de création collaborative installé au coeur d’une ancienne usine sucrière. Au programme de ce fablab unique : cours de cuisine, soirées “scène ouverte” et exposition d’artistes locaux. Dans ce lieu, l’urbanisme durable est le maître-mot. Nous avons ainsi eu la chance de rencontrer l’artiste-designer Leon qui achevait tout juste son projet “Wild Bench”, un meuble urbain conçu à partir de matériaux recyclés. Bien qu’il ne soit généralement pas rémunéré pour ses oeuvres, Leon adore son métier. Une passion que l’on retrouve dans ses bancs à la fois amusants et originaux qui parsèment la ville et l’embellissent.

Grâce à Hans, nous avons également pu rencontrer David Bakker, fondateur de Maakplek, une large communauté de makers qui entend se distinguer des espaces traditionnels de co-création. Il a d’ailleurs récemment lancé le Maak festival, une alternative à l’événement Maker Faire. Son but : “promouvoir l’art de fabriquer” sans se compromettre avec ce qu’il estime être “les valeurs propres à l’entreprise”.

Beaucoup de bonnes surprises donc à Groningen, et un détour à vélo qui en valait la chandelle !

Catégories
Uncategorized

FutureMag – La technologie au service des seniors | ARTE Future

voir l’émission intégrale

Émission du 9 mai 2015

Aujourd’hui le « Vieux continent » compte 96 millions de personnes de plus de 60 ans. Pour faire face au défi du vieillissement, les entreprises de la Silver Economie imaginent des technologies sur-mesure pour les plus âgés. Des portails web simplifiés aux robots d’aide à domicile, ces innovations permettent aux seniors de rester autonomes. Qui a dit que l’âge et la technologie étaient incompatibles ?

Catégories
Uncategorized

FutureMag – La Grande Boucle des makers : au coeur de la fabrique des nuages | ARTE Future

Miriam, Groningue, mai 2015

Le 8 mai 2015, nous avons traversé la frontière entre l’Allemagne et la Hollande à vélo. Première étape : Groningen, petite ville moderne où règne un fort esprit entrepreneurial. Une destination que nous avions choisie après avoir été contactées par un maker du nom de Hans Blaauw. En découvrant notre projet quelques semaines plus tôt, Hans nous a proposé de nous guider à travers la ville afin de nous faire rencontrer les makers locaux.

Notre visite s’est terminée par la Wolkenfabriek, littéralement “la fabrique des nuages”, un espace de création collaborative installé au coeur d’une ancienne usine sucrière. Au programme de ce fablab unique : cours de cuisine, soirées “scène ouverte” et exposition d’artistes locaux. Dans ce lieu, l’urbanisme durable est le maître-mot. Nous avons ainsi eu la chance de rencontrer l’artiste-designer Leon qui achevait tout juste son projet “Wild Bench”, un meuble urbain conçu à partir de matériaux recyclés. Bien qu’il ne soit généralement pas rémunéré pour ses oeuvres, Leon adore son métier. Une passion que l’on retrouve dans ses bancs à la fois amusants et originaux qui parsèment la ville et l’embellissent.

Grâce à Hans, nous avons également pu rencontrer David Bakker, fondateur de Maakplek, une large communauté de makers qui entend se distinguer des espaces traditionnels de co-création. Il a d’ailleurs récemment lancé le Maak festival, une alternative à l’événement Maker Faire. Son but : “promouvoir l’art de fabriquer” sans se compromettre avec ce qu’il estime être “les valeurs propres à l’entreprise”.

Beaucoup de bonnes surprises donc à Groningen, et un détour à vélo qui en valait la chandelle !

Catégories
Uncategorized

FutureMag – De l'électricité dans l'air | ARTE Future

voir l’émission intégrale

Émission du 29 novembre 2014

La fée électricité a un gros défaut : sa magie n’a toujours tenu qu’à un fil. Sans câble, pas de lumière, pas d’appareils électroménagers, pas d’ordinateurs ou de smartphones. Mais aujourd’hui, cela pourrait bien changer. FUTURE enquête sur l’électricité sans fil. La recharge par induction permet déjà de recharger des téléphones portables dans quelques cafés privilégiés à Boston. En Allemagne, ce sont des bus qui sont rechargés, sur leur trajet, par ce même système. Mais la solution la plus prometteuse, c’est à Boston qu’elle est en train d’être développée. Chez Witricity, l’électricité circule dans l’air via des champs magnétiques. 
 

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Nagual Dance : quand la danse donne le ton | ARTE Future

Créer de la musique avec son corps

Artur Reimer, le patron de Nagual Sounds, danse face à un écran. Plus ses mouvements sont rapides et plus la musique est forte. Et le son devient plus aigu quand il monte les bras vers le ciel. Mais dès qu’il s’arrête, c’est le silence. Artur produit de la musique à l’aide de son corps. Comment est-ce possible ?

« Ce système repose sur le principe de la conversion de données en musique. Nous utilisons les informations fournies par une caméra qui enregistre les mouvements, et transposons en temps réel ces mouvements en musique » explique Artur. « Chaque partie du corps produit un autre son. Par exemple, ma main gauche est associée à une mélodie et la musique varie en fonction de ma position et de la rapidité du mouvement. » Ainsi, chacun peut créer sa propre musique ; pas besoin d’être un compositeur ou un danseur.  

Matthias Strobel, le responsable marketing, explique que « chacun peut faire de la musique grâce à ce logiciel. Nagual Dance est conçu de telle sorte que le résultat soit toujours agréable à écouter. En effet, nous sommes persuadés que chaque personne bouge à sa manière, mais que personne ne bouge mal. C’est pourquoi nous avons programmé le système de façon à ce que chacun obtienne tout de suite un résultat satisfaisant. ».

Si l’on veut tester le système, on peut le louer. Ce logiciel intéresse en premier lieu les agences événementielles, les musées et les centres de rééducation. Par exemple, il est utilisé pour des enfants qui ont eu un accident cérébral et qui réapprennent progressivement à se mouvoir. Et d’ici la fin de l’année, Nagual Dance devrait même être proposé sur une console de jeu.

De la piste de danse à la musicothérapie

Les Berlinois ont déjà remporté plusieurs prix pour leur innovation technique : MIDEMLAB Award 2014 (Cannes), prix du Design Berlin-Brandenburg, Rethink Music Venture Day Award 2013 et Audience-Award de MusicTech Pitch 4.5 (Londres). Par ailleurs, le ministère fédéral de l’Economie leur a décerné en 2014 le prix Kreativpiloten Deutschlands, qui récompense chaque année une start up.

Nagual Dance ne compte pas en rester là et prépare actuellement une appli pour smartphone. En effet, les données qui pilotent le système ne doivent pas forcément provenir d’une caméra mais peuvent aussi être générées par les capteurs de mouvement intégrés dans les smartphones. Artur présente l’une des visions de la start up : « une multitude de personnes dont les portables sont interconnectés se retrouvent dans un club. Chacune d’entre elles est responsable d’un instrument et elles produisent ensemble de la musique dans ce club ».

Un jour prochain, il sera peut-être possible de recourir à des électroencéphalogrammes pour prélever les données directement dans le cerveau, de façon à permettre à des personnes entièrement paralysées de s’exprimer en musique via leurs pensées !

 

Et pour tout savoir sur le futur de la musique, c’est par ici.

Par Kerstin Acker

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Nagual Dance : quand la danse donne le ton | ARTE Future

Créer de la musique avec son corps

Artur Reimer, le patron de Nagual Sounds, danse face à un écran. Plus ses mouvements sont rapides et plus la musique est forte. Et le son devient plus aigu quand il monte les bras vers le ciel. Mais dès qu’il s’arrête, c’est le silence. Artur produit de la musique à l’aide de son corps. Comment est-ce possible ?

« Ce système repose sur le principe de la conversion de données en musique. Nous utilisons les informations fournies par une caméra qui enregistre les mouvements, et transposons en temps réel ces mouvements en musique » explique Artur. « Chaque partie du corps produit un autre son. Par exemple, ma main gauche est associée à une mélodie et la musique varie en fonction de ma position et de la rapidité du mouvement. » Ainsi, chacun peut créer sa propre musique ; pas besoin d’être un compositeur ou un danseur.  

Matthias Strobel, le responsable marketing, explique que « chacun peut faire de la musique grâce à ce logiciel. Nagual Dance est conçu de telle sorte que le résultat soit toujours agréable à écouter. En effet, nous sommes persuadés que chaque personne bouge à sa manière, mais que personne ne bouge mal. C’est pourquoi nous avons programmé le système de façon à ce que chacun obtienne tout de suite un résultat satisfaisant. ».

Si l’on veut tester le système, on peut le louer. Ce logiciel intéresse en premier lieu les agences événementielles, les musées et les centres de rééducation. Par exemple, il est utilisé pour des enfants qui ont eu un accident cérébral et qui réapprennent progressivement à se mouvoir. Et d’ici la fin de l’année, Nagual Dance devrait même être proposé sur une console de jeu.

De la piste de danse à la musicothérapie

Les Berlinois ont déjà remporté plusieurs prix pour leur innovation technique : MIDEMLAB Award 2014 (Cannes), prix du Design Berlin-Brandenburg, Rethink Music Venture Day Award 2013 et Audience-Award de MusicTech Pitch 4.5 (Londres). Par ailleurs, le ministère fédéral de l’Economie leur a décerné en 2014 le prix Kreativpiloten Deutschlands, qui récompense chaque année une start up.

Nagual Dance ne compte pas en rester là et prépare actuellement une appli pour smartphone. En effet, les données qui pilotent le système ne doivent pas forcément provenir d’une caméra mais peuvent aussi être générées par les capteurs de mouvement intégrés dans les smartphones. Artur présente l’une des visions de la start up : « une multitude de personnes dont les portables sont interconnectés se retrouvent dans un club. Chacune d’entre elles est responsable d’un instrument et elles produisent ensemble de la musique dans ce club ».

Un jour prochain, il sera peut-être possible de recourir à des électroencéphalogrammes pour prélever les données directement dans le cerveau, de façon à permettre à des personnes entièrement paralysées de s’exprimer en musique via leurs pensées !

 

Et pour tout savoir sur le futur de la musique, c’est par ici.

Par Kerstin Acker

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Et si la voiture volante était juste un petit avion ? | ARTE Future

capture_decran_2014-09-04_a_14-53-26-4978611avioni-2995117capture_decran_2014-09-04_a_14-47-54-7729407

Catégories
Uncategorized

FutureMag – Chauffer les bronches à 65°c : un traitement au secours des asthmatiques | ARTE Future

Catégories
Uncategorized

FutureMag – La réaction de notre corps face au froid | ARTE Future