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FutureMag – Comment obtenir un vin plus léger en alcool ? | ARTE Future

Des chercheurs ont mis au point une curieuse machine capable d’abaisser le pourcentage d’alcool présent dans le vin. Mais comment fonctionne-t-elle ? voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – Comment mesurer les besoins en eau d'une vigne ? | ARTE Future

L’hydratation de la cèpe de vigne est régulée par un flux : celui de la sève. Des chercheurs ont eu la bonne idée de garder un oeil sur cet écoulement afin de connaître à tout moment les besoins en eaux de la vigne. Découvrez comment ils procèdent. voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – Comment fonctionne l'éolienne sous-marine qui récupère l'énergie des rivières ? | ARTE Future

Les rivières sont une source novatrice d’énergie. Mais comment la récupérer efficacement et surtout sans polluer ? Réponse en animation. voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – Des emballages emballants | ARTE Future

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Marre de voir notre environnement pollué par d’innombrables sacs plastiques, bouteilles et emballages en tous genres ? Vous n’êtes pas seuls. Certains chercheurs mettent actuellement au point des contenants totalement écologiques et biodégradables. Pour ce faire, ils étudient des matériaux pour le moins inattendus tels que les champignons, les chardons ou encore les… carapaces de crevette.

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FutureMag – Les données, meilleures alliées des pompiers ? | ARTE Future

Une opération des sapeurs-pompiers ne s’improvise pas. Il s’agit d’une organisation régit par différentes étapes : la reconnaissance des lieux du sinistre avant tout engagement de moyens, la mise en place du dispositif assurant la sécurité des intervenants et l’efficacité des actions, le sauvetage des victimes potentielles ou avérées, la maîtrise et l’arrêt du feu, mais aussi la surveillance après toute opération afin d’éviter une reprise de risque. Toute une logistique de crise qui mobilise des réseaux d’information structurés : le commandement qui prend les décisions, les pompiers dans l’opérationnel, ou encore les réseaux tactiques qui permettent une communication sur le terrain. Ce sont donc différents flux d’informations qui se croisent et autant de données qui doivent être mises à la disposition de tous ceux qui interviennent.

Si certains développent des outils d’aide à la décision fondés sur les mouvements des pompiers, à l’image de deepsense.io, le vainqueur du dernier concours organisé par l’Université de Varsovie et les pompiers de la ville, d’autres créent des applications pour Google Glass leur permettant de disposer en temps réel des informations nécessaires pendant une opération, comme nous vous l’expliquions cette semaine dans notre C’est Déjà Demain. Les initiatives sont donc nombreuses. Certaines casernes opèrent même des rapprochements avec les services municipaux en charge des données, afin d’accéder à un maximum d’informations. C’est le cas de Boston dont la collaboration était annoncée en juillet dernier :

« Plus nous mettrons d’outils dans les mains de nos pompiers leur permettant d’avoir une plus grande connaissance de la situation avant d’entrer dans un incendie, mieux ce sera, expliquait le chef des casernes de Boston, Joseph E. Finn au Boston Herald. Quand les enjeux sont aussi grands, chaque seconde compte et chaque décision aussi. »

Et ce n’est pas la première initiative du genre. Développé aux États-Unis en 2008, le système de commandement des incidents nouvelle génération (NICS) est un logiciel d’intégration des données à grande échelle redoutable. Il est capable de fournir des bilans de situation dès l’arrivée des secours ainsi que des informations en temps réel pendant toute la durée de l’opération afin de permettre aux commandements de prendre de meilleures décisions. Ce système a rapidement été déployé lors d’autres crises que les incendies comme les inondations de San Bernardino en Californie par exemple ou encore pour faciliter la localisation des victimes du glissement de terrain à Oso, dans l’État de Washington.

Les algorithmes prédictifs, des pompiers comme les autres ?

L’utilisation des données ne s’arrête pas là puisque certains départements de pompiers cherchent à les utiliser pour prédire les lieux où se déclencheront les incendies. On parle alors de data mining, discipline mobilisée depuis deux ans par les casernes de New York. C’est une véritable avancée pour la Grosse Pomme qui enregistre 3000 immeubles en feu chaque année, parmi le million que compte la ville. Pour ce faire, le département commence par identifier les quartiers à risque en fonction de leurs caractéristiques, en commençant par la pauvreté :

« On observe une corrélation entre les incendies et les quartiers qui comptent un faible niveau de revenu » affirmait Jeff Chen, directeur du département des analyses lors du Big Data Innovation Summit à Las Vegas en 2013.

D’autres données sont prises en compte comme l’âge de l’immeuble, les différents problèmes d’électricité enregistrés au cours des dernières années, la présence d’un ascenseur, la présence ou non d’extincteurs automatiques ou encore d’un gardien etc. Si l’utilisation de ces informations peut sembler évidente, il n’existait jusqu’alors pas d’outil permettant de croiser les données et d’établir les zones les plus à risque.

Au total, ce sont plusieurs centaines de caractéristiques qui sont désormais prises en compte pour être soumises à la rigueur mathématique de l’algorithme. Chaque semaine, lorsque les pompiers partent en inspection, il leur fournit une liste des bâtiments les plus susceptibles de voir se déclencher un incendie afin qu’ils soient contrôlés en premier. Un choix plus pertinent pour la ville, dont les coupes budgétaires freinent le nombre d’inspections possibles… Les données permettent de sauver plus de vies donc, mais aussi de réduire les dépenses.

par Camille Gicquel
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FutureMag – Comment fonctionne TAUROB, le robot pompier ? | ARTE Future

Caméra thermique, détecteur de gaz… Le robot TAUROB est petit par la taille, mais grand par les fonctionnalités. Cela qui fait de lui une aide précieuse pour les pompiers de Vienne. Découvrez son fonctionnement en animation. voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – C’est déjà demain #35 : place aux Green Techs ! | ARTE Future

Organisées chaque mois dans un ministère différent par la secrétaire d’État au numérique Axelle Lemaire, ces sessions mettent en contact start-ups, investisseurs et acteurs de la commande publique. Ce mardi, l’enjeu était double pour le gouvernement français : annoncer officiellement le lancement d’un projet numérique pour la COP21, qui se tiendra du 30 novembre au 15 décembre, et rappeler la toute récente adoption du projet de loi sur la transition énergétique.

« Je veux que la France soit exemplaire, a affirmé Ségolène Royal, Ministre de l’écologie. Nous avons absolument besoin que les start-ups se saisissent de cette loi de transition énergétique pour proposer des offres à la portée de tous : les citoyens, les entreprises, les associations et les territoires. »

Plongée au cœur  des innovations qui ont décidé de relever le défi et faire de l’Hexagone une référence en matière d’environnement.

 

L’open data pour mesurer la pollution dans la ville

« L’informatique est entrée dans le XXe siècle avec la mobilité, explique Romain Lacombe, co-fondateur de Plume Labs. Les objets connectés nomades et miniaturisés permettent de quantifier la pollution à laquelle on s’expose. » Et pour fournir cette information, sa start-up développe des accessoires connectés et personnels de suivi environnemental. Elle agrège et retraite les données collectées heure par heure dans 60 villes dans le monde, et permet de les comparer facilement. Une première étape pour l’entreprise qui ambitionne de lancer un objet connecté permettant de mesurer autour de soi précisément la concentration en polluants dans l’air. « Nous voulons à l’avenir utiliser des algorithmes prédictifs pour prévoir comment la pollution va évoluer. », conclut Romain Lacombe. 

 

Du photovoltaïque sur votre smartphone

Vous avez bien lu : et si vous couvriez votre smartphone de micro-lentilles invisibles à l’œil  nu, capables de recharger votre batterie ? Adaptables aux écrans, aux vitrages et aux surfaces opaques, les petites cellules de SunPartner s’activent dès la première exposition à la lumière pour alimenter l’équipement auquel elles sont connectées. Une prouesse technologique invisible qui pourrait pourtant fortement impacter notre quotidien. Car comme se le demande Joël Gilbert, co-fondateur de la start-up : « est-il bien raisonnable d’alimenter nos outils connectés avec des énergies fossiles ? »

 

Le thermostat connecté pour une meilleure consommation énergétique

« Un ménage dépense en moyenne 2 400 €/an en énergie » affirme Adrien Suire de la start-up Qivivo. Alors pourquoi chauffer au maximum une pièce lorsque vous n’y êtes pas ? « Notre objectif est d’adapter la consommation énergétique des maisons et plus largement de tous les bâtiments en permettant de contrôler à distance la température ». Une technologie qui permettrait déjà de faire jusqu’à 25 % d’économies…

 

Produisez de l’énergie en bougeant

À l’aide d’un micro-générateur, la start-up Enerbee transforme les mouvements d’une amplitude de quelques millimètres à 1 cm, en électricité. Une solution pour remplacer les piles et les batteries, et qui vise l’autonomie en énergie de petits appareils comme les montres, les télécommandes ou encore certains objets connectés. « Sur le marché, on compte déjà 80 milliards de compteurs intelligents, et ce sont plus de 450 millions de montres ou de bracelets vendus dans le monde chaque année. Le potentiel est énorme ! » s’enthousiasme Jérôme Delamarre.

 

R3D3 : la poubelle qui trie et compacte le plastique

Verre, plastique, matières organiques… Il n’est pas toujours évident de savoir où jeter ses ordures. R3D3 tri et compacte bouteilles en plastique, cannettes et gobelets. Une solution mise en place par Green Creative pour faciliter le triage et optimiser le recyclage, le compactage des matériaux permettant de réduire le nombre de collectes. Pas sûr que R2D2 soit capable d’une telle innovation ! Toiture solaire, éco-construction… L’innovation réside aussi dans les modes de financement. Fondé en 2012, le site Lumo propose aux internautes d’investir dans des projets d’énergies renouvelables. Depuis sa création, un peu plus de 162 000 € ont été collectés et près de 300 personnes ont participé au financement d’au moins un projet solaire. La plateforme s’inscrit au sein du projet européen Citizenergy, avec notamment le site anglais. « C’est un produit d’épargne simple et accessible à tous les budgets donc outil de massification du financement » affirme son fondateur.

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FutureMag – Voiture électrique : et maintenant ? | ARTE Future

Au même titre que la majorité de l’électronique portable, la génération actuelle de véhicules électriques utilise des batteries Lithium-Ion. Présentant un meilleur compromis entre poids, prix et autonomie que les batteries au plomb ou au nickel, elles se situent encore largement derrière l’essence dans les trois catégories. La recherche continue donc pour trouver des solutions de stockage d’énergie plus efficaces. En 2013, Volvo dévoilait une technologie permettant de stocker l’électricité dans la carrosserie même du véhicule. La pile à combustible de La Quant e-sportlimousine, présentée au dernier salon de Genève, est alimentée par la réaction chimique entre deux solutions d’eau salée. Même Mercedes participe à la course. La peinture “multivoltaïque” développée par le constructeur allemand serait capable d’emmagasiner non seulement l’énergie du rayonnement solaire, mais aussi celle du frottement de l’air sur le véhicule… Intéressantes en elles-mêmes, ces technologies sont cependant à des années et des centaines de millions de dollars de pouvoir être industrialisées. En installant dans le Nevada la plus grande usine de batteries au monde, Tesla Motors mise donc sur l’amélioration de la technologie existante plutôt que sur la recherche de nouvelles solutions. En 2020, cette “Giga Usine” devrait produire plus de batteries que l’ensemble des acteurs mondiaux n’en ont produit en 2013. Une telle production permettra non seulement de réduire fortement les coûts, mais également d’accélérer radicalement le progrès dans le domaine. Moins chère et plus puissante, la batterie Lithium-Ion devrait donc encore avoir de beaux jours devant elle.

Quel standard adopter pour la recharge rapide ?

Recharger son véhicule chez soi est pratique, mais tout le monde ne dispose pas d’une place de parking équipée d’une prise électrique. Comme il existe des stations service pour les véhicules à essence, un réseau de stations de recharge dites “rapides” se met en place. La densité de ce réseau est cruciale car l’”angoisse de la panne”, ou “range anxiety”, est l’un des obstacles majeurs à l’adoption du véhicule électrique. Or, à travers le monde, trois protocoles de recharge rapide s’affrontent pour devenir le futur standard, empêchant les conducteurs de pouvoir recharger leurs véhicules sur n’importe quelle borne. Le système Japonais CHAdeMO, adopté par Nissan et Mitsubishi, est le plus répandu. Il se heurte cependant à la concurrence du système américain SAE J1772 Combo, soutenu par General Motors. En parallèle, le constructeur Tesla Motors a développé son propre réseau avec les stations Supercharger, alors réservé aux véhicules de la marque. Particularité de ces dernières : la recharge y est gratuite. En juin 2014, Tesla a annoncé son intention d’ouvrir son réseau aux autres constructeurs, à condition que ces derniers participent financièrement à sa maintenance et son développement, afin que le système puisse rester gratuit pour les usagers. Les rares stations proposant les trois systèmes de recharge illustrent l’absurdité de la situation : trois prises de forme différentes proposant la même électricité provenant du même réseau…

La Norvège va-t-elle continuer à montrer l’exemple ?

Avec 43 861 véhicules électriques (VE) en circulation fin 2014, la Norvège est le pays au monde avec le plus grand nombre de VE par habitant. Plus d’un automobiliste norvégien sur 100 a aujourd’hui adopté ce mode de transport. Ces chiffres résultent d’une politique incitative mise en place par le gouvernement d’Oslo. Exemptés de TVA et de taxe à l’achat, les propriétaires de VE sont également dispensés de payer les frais de péages ou de parking. Sur la route, les conducteurs de VE ont également le droit de circuler dans les voies de bus. Cette stratégie s’est avérée payante, puisque l’objectif de 50 000 VE en circulation fixé pour 2018 devrait ainsi être atteint en 2015. Alors que de nombreuses voix s’élèvent pour protester contre les effets économiques pervers de ces mesures, elles devraient donc progressivement être abrogées. Reste à savoir si le marché survivra sans elles ou si la bulle électrique finira par éclater.

Et si l’avenir se jouait en Chine ?

Plus surprenant, en 2014, près de 20 millions de voitures individuelles ont été vendues en Chine. Parmi elles, on compte 75 000 VE soit moins de 0,4 % des ventes. En apparence négligeable, ce total est cependant trois fois supérieur à celui de 2013. L’important potentiel du VE n’a pas échappé au gouvernement chinois, qui compte aujourd’hui dessus pour poursuivre un double dessein. En encourageant le développement de la voiture électrique, Pékin soutient une industrie génératrice d’emploi et fortement exportatrice, tout en participant à la réduction des émissions nationales de gaz à effet de serre. Avec un objectif de 500 000 unités en circulation d’ici la fin de l’année et 5 millions en 2020, la Chine se place assez étonnamment comme le futur eldorado de la voiture électrique et devrait attirer de nombreux constructeurs. Premier marché automobile mondial, la population du géant asiatique pourrait en effet servir de tremplin à plusieurs futurs géants mondiaux.

Mais pour pouvoir assumer ce rôle, il Il lui faudra d’abord résoudre un problème d’ores et déjà critique : le manque crucial d’infrastructures de recharge. Si ce déficit n’est pas rapidement adressé, l’industrie de la voiture électrique chinoise pourrait mourir dans l’oeuf.

Lluis Pino

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FutureMag – COBRA, la lance surpuissante qui éteint les feux… à travers les murs | ARTE Future

Une lance qui permet à l’eau de transpercer un mur et d’éteindre un feu ? Découvrez le fonctionnement de COBRA. voir le reportage diffusé dans Futuremag

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FutureMag – COBRA, la lance surpuissante qui éteint les feux… à travers les murs | ARTE Future

Une lance qui permet à l’eau de transpercer un mur et d’éteindre un feu ? Découvrez le fonctionnement de COBRA. voir le reportage diffusé dans Futuremag